30 mai 2006

Connais tu d'Jack ?

Hein … zélé lecteur … connais tu le grand … le majestueux … l’impérial Jack ?

Non … me dis pas que tu ne le connais pas … Tu plaisantes là … Non ! … On parle de Jack là … On ne parle pas de Maurice ou Archibald, voire d’Arthémus Gordon …
Je parle bien de Jack, …, cet être à la limite de l’humain. Probablement une sorte de demi dieu. Quasiment increvable, inusable. Ce héros des temps modernes.

Bon, là tu vois de qui je parle. … Toujours pas … Tu m’étonnes un peu John !
Non mais je parle de ce héros des temps modernes, ce pourfendeur du terrorisme international … qui n’a besoin que de 24 heures (et pas un pêt de lapin de plus …) pour occire tous individus ayant eu la moindre velléité de complot contre cette belle patrie libérale que l’on nomme Amérique. United States of America. Pas d’la gnognotte … quoi !

Ah … enfin … Ben oui c’est de ce Jack Bauer dont je te parle … L’ami de ma z’amie Saïda (oh tu sais …. Les lubies de la miss … c’est comme tout … ça s’en vient… et puis … ça repart … entre les deux … faut assumer et assurer … d’la gestion en quelque sorte !) … Son mentor … son olympe … son HOMME.
Faut avouer, Jack il rigole pas. Quand il t’interroge, si tu ne lui réponds pas fissa (et sans l’entourlouper en plus), direct il te fout une bastos dans le genoux … histoire de te faire savoir qu’il en a … des grosses comme une paires de pastèques « OGMïsé » …
Jack il bouffe du vilains dès le petit déjeuner. Faut dire qu’ils cherchent un peu les niais … C’est vrai quoi, au lieu de comploter ailleurs qu’aux states, …, non il faut impérativement qu’ils s’en prennent à la patrie de Jack. Alors, c’est sur, Jack il aime pas ça … et il se vénère. Faut le comprendre, …, c’est un garçon sensible. Ouais, ça aussi, z’amie Saïda elle aime bien. Les grands sensibles. Qui cachent cette sensibilité à fleur de peau comme ils peuvent, sous des airs de rustres barbares. Des distributeurs de pains montés sur pattes. Assurément Jack en est un. (Ah … non pas de la Jaquette … tu veux que z’amie Saïda vienne te défoncer la face ou quoi … T’es ouf … ne redis jamais ça … T’as d’la chance, j’crois qu’elle ne t’a pas entendu … gaffe mec …)

En tout cas Jack Bauer, l’ami du monde libre (tout comme de Gaulle … quand je te disais que Jack est un grand homme … t’as vu les références …) vient de finir sa cinquième journée de guerre contre les vilains terroristes, mais il m’est avis qu’une sixième va arriver. Ben ouais, …, je te l’ai dis … Le terroriste il est stupide … Il s’en prend toujours à Jack. L’est con. Il a pas la télé ou quoi. Il devrait le savoir. Jack il gagne toujours. En 24 heures Chrono. Mieux que Darty. Non, moi, le terroriste me désespère. Il est vraiment trop con. A en perdre la foi dans l’être humain. Moi, je dis, autant vivre en paix. Bon z’amie Saïda n’aurait pas de quoi se pâmer … mais on s’rait plus tranquille … M’enfin ça n’engage que moi …

Hein, qu’est ce que tu dis … Que je ferme ma gueule … que j’envoie la sixième heure … et que j’arrête de raconter des conneries. Bien sûr Saïda …

Bon, les z’amis faut que je vous laisse … je crois que j’ai été repéré … Argh, …, saleté de cerveau subversif … Oui oui j’arrive … Hep … à plus …. Hein … non j’étais avec des amis … non ça va … je me tais … oui je sais ... Jack a dit ferme ta gueule ... je sais ...

29 mai 2006

Moumoune's day (Partie 2)

Toujours en fils indigne que je suis (Une légende, ça s’entretien merde !), …, je me dis qu’il faut que je fasse encore un p’tit effort …
Alors je tiens à dire :

BON ANNIVERSAIRE MAMAN …

Eh, …, faudrait quand même voir à ne pas oublier ça !!!

Bon ensuite, tant que j’y suis … enchaînons sur l’oncle indigne que je suis … (si tu savais fidèle lecteur l’histoire … hum, …, tu me dirais, à juste titre, que cela est tendancieux et qu’il est malvenu d’employer ce terme …) … qui oublierait comme un nigaud … que sa nièce est née elle aussi un 29 Mai comme sa grand-mère, accessoirement ma petite mère adorée. Donc :

BON ANNIVERSAIRE MATHYLDE …

Enfin, pour conclure, malgré le fait que j’ai longuement hésité (rapport à une certaine attitude qui ne m’enchante guère … mais ce n’est pas moi qui fait l’histoire et dicte les réactions que l’on doit avoir !), je souhaite un excellent anniversaire à une de mes ex-collègue … jadis amie proche … et plutôt super éloignée par les temps qui courent (voire très, très éloignée …).

Bon, voilà, …, je crois avoir fait le tour de la question anniversaire du jour … C’est déjà pas mal, non … hein, dis z’ami lecteur ?

28 mai 2006

Moumoune’s day

Ah, …, tant que j’y pense … (feignons le fils notoirement incapable d’y penser et l’oubliant chaque année …)


BONNE FÊTE MAMAN …



Ah, …, et à demain pour la suite ???

Si je pouvais

Si je pouvais je serais superman. Que dis-je … je serais un bataillon de super héros. Je serais une entité céleste envoyée pour faire de magnifiques choses. Je rendrais chaque jour ensoleillé sans pour autant laisser la terre asséchée. Je serais un être qui chaque jour lutterait de toute son âme pour faire pousser à l’intérieur de ton cœur une multitudes de roses rouges, qui s’acharnerait à faire naître le plus sublime des sourires sur ton visage … bref je serais un être merveilleux.

Mais voilà, ça, c’est si je pouvais. Même si l’envie ne me manque pas d’être et de faire tout ça, je ne suis et ne serais jamais aussi formidable. On peut juste prétendre tendre (hum … maître Capello … quand tu nous tiens !!!) à l’être un peu. Car je ne suis finalement qu’un être humain rempli de qualités mais aussi de faiblesses. Faiblesses qui font que je ne pourrais pas être cet être extraordinaire. Je suis un être ordinaire. Bon d’accord, on essaiera d’être un ordinaire de haut de gamme … mais c’est le maximum … Bref si je pouvais … je serais tel ce que je pourrais …

Sue ce les z’amis, je vous laisse, je vais à un essayage de costume de super héros … Hein, qui ne tente rien n’a rien, …, non !

26 mai 2006

Le désert

Youpi … aujourd’hui c’est vide. Ce matin, sur la route, quasiment personne. La traversée de ma bourgade m’a pris 3 minutes au lieu du gros quart d’heure habituel. Pas de bouchon à la hauteur de Velizy (pour les connaisseurs) … bref du nickel … comme on aimerait qu’il en aille ainsi tous les jours. Le bureau aussi est peu peuplé. La queue au self n’était pas au menu du jour (à moins qu’elle ne fût de Lotte … dans ce cas … il y aurait pu avoir confusion !) …
Bref l’extase du travailleur.

M’ouais … faut quand même voir … parce que finalement … moi aussi j’aurais bien aimer me faire un p’tit pont … un p’tit W-E de derrière les fagots (cherche pas Paulo, …, c’est une expression … tu ne trouveras rien derrière les fagots … dehors) … En plus je me suis couché tard Mercredi (genre en fait Jeudi matin à 5 heures … Et merci qui ??? … merci ma saleté … Non, je plaisante … j’étais on ne peut plus heureux de … ce moment … en ta compagnie … quoique … il n’y aurait pas eu ce Jack … ça m’aurait arrangé !!!) … et en fait là … j’suis tout fatigué … limite, je crois qu’il va falloir que je me greffe des allumettes sur les paupières …

Finalement, …, c’est pas si cool ce désert … pas d’animation dans les bureaux … des routes vides, des villes vides … Mumh … ça donne envie d’aller vivre à la campagne tout ça …
Nan, .., j’déconne … Jusque ça change un quotidien ce truc là …

Bon je vous laisse les z’amis … j’vais aller me reprendre un p’tit expresso del Gringo … ça va m’aider à tenir jusqu’à ce soir. A plus.

24 mai 2006

Krouvlichev express

Serguei s’approcha de Natacha. La froide et ensorcelante créature lui jeta furtivement un regard qui en disait plus ou moins long. Dans le cas présent, elle semblait s’orienter vers le moins long. Nettement même se dit t’elle soudain, … en pensant à Stefan … qui lui ferait peut être un bébé pour Noël.
Elle ferma les yeux, et s’amusa à imaginer combien de temps Serguei allait mettre avant de rompre le silence.

La porte claqua. Elle ouvrit les yeux et se retourna. Serguei était parti. « Le rustre, …, le muffle … » se dit t’elle … Et là, il n’était pas question d’une quelconque donation de Stefan. Elle se précipita à la fenêtre de la datcha. Serguei venait de s’allumer une cigarette et montait dans la Lada, garée près d’un pin centenaire du parc. Il introduisit la clef de contact et le mit. L’explosion et la déflagration qui suivirent, mirent fin à l’existence de ce brave centenaire. Tout comme à celle de Serguei. Natacha s’humecta les lèvres.

Ce parfum de mort l’excitait toujours au plus haut point (Elle le savait, en France, il se situait à 4807 mètres … en données corrigées suivant les variations saisonnières !). Le général serait ravi. Et comme il lui disait souvent « Les cosaques attaquent, Natacha ! ».

Elle se donnerait du bon temps à Krouvlichev. Ce Serguei s’était avéré à l’usage un bien piètre amant. Elle remit son manteau de fourrure. Son hélicoptère se faisait entendre au loin.


Fin (Not to be continued)

22 mai 2006

Quiz 5 : Les réponses

Hum, hum … devant le faible succès du quiz n°5, j’ai la joie et l’honneur (je sais, …, parfois j’en fais un peu trop) de vous annoncer sa mort. R.I.P. Tout comme vraisemblablement celle de ces successeurs. Ils sont trop tristes, et ne voient pas comment faire pour surpasser le succès de leurs prédécesseurs. Mais bon prince, ce dernier encore en ligne pour 1 ou 2 jours, a daigné m’accorder le droit de vous révéler les titres qu’il avait dans les tripes.
Nous avions donc :

1) Veruca Salt : One last time
2) Peter Kingsberry : Do a dance
3) Oceanheah (Feat. Claudia Brücken) : Eyemotion05
4) Serge Gainsbourg – Requiem pour un con (remix)
5) Mano Negra : King kong five.


Voila … c’est fini … je suis tout émouvu et tout triste. Allez jolis quiz … reposez en paix.


Sur ce les z’amis, à plus.

20 mai 2006

Eole ta mère !

Vin diou ... ça souffle sa race aujourd'hui ... Déjà cette nuit j'ai crû que M. Eole allait emporter les bouts de plastiques qui font office de volets à la fenêtre de ma chambre (Ah, quand t'es en appart, ..., t'as pas le droit aux volets de luxe ... faut pas rêver ...) ... M'enfin, je ne sais par quel miracle, les maigres rivets les retenant ont bien tenu le choc. Par contre, sur la N20, il semblerait qu'un arbre ne l'est pas tenu le choc. Tout comme la voiture en dessous ... Espérons que c'était une voiture en stationnement.

Par contre il va falloir que je sorte faire un tour pour trouver du papier pour transferts, afin de faire quelques T-shirt personnalisés pour ma petite nièce ... je suis pas en confiance ... Il va falloir que j'étudie un parcours sans arbres ... Faudrait voir à pas m'abîmer ma vieille titine ... Tiens encore une rafale ... Je vais aller remettre du gel ... sinon, je vous raconte pas l'anarchie capillaire ...

Sur ce les z'amis, je vais de ce pas affronter dame nature ... A bientôt !

19 mai 2006

Oyez, oyez

Qu'on se le dise ... plus que 48 heures pour accéder au panthéon. Plus que 48 heures pour participer au quiz 5, ..., après il sera trop tard ... faudra pas venir te plaindre petit scarabée ... Trop lent tu auras été ...

A bon entendeur salut !

;-)

18 mai 2006

Je me tâte

Jésus de Dali ...Mumh … est ce que je le dis, ou pas.
Non, parce que bon, …, c’est un truc énorme. Mais quand je dis énorme, …, c’est énorme. Limite ça remettrait l’ordre du monde en cause. Rien que ça.
Bon, allez, …, vu qu’on est en plein dedans, autant remettre les pendules à l’heure. C’est vrai, c’est pas parce qu’un obscur auteur de roman c’est amusé avec une histoire de paternité … qu’il faut que je me taise. Non.
Moi je suis détenteur du secret ultime. Ainsi je suis sur le point de te le révéler. Mais avant toute chose, je te conseille de t’asseoir si ce n’est déjà fait. Car ça va te retourner. Je le sais.
Donc, je suis en mesure de te dire, que Jésus avait un frère. Je sais, ce n’est pas un scoop, comme théorie … mais là où je suis plus balèze, tout comme tonton mayonnaise, … c’est que c’était un frère jumeau. Alors, hein … ça t’en bouche un coin … voire la rondelle (T’inquiète, dans ce cas … un peu de all bran ou un p’tit dragée Fuca … et le tour est joué …).
Oui je sais c’est hallucinant. Mais tu ne connais pas encore tout. Car qui dit frère jumeau, dit même patrimoine génétique. Et quel patrimoine. De droit divin … si j’ose abuser de l’expression.
Bon, tu me diras … comment les rois mages n’ont t’ils pas vu ce jumeau. Ben, en fait faut savoir qu’ils avaient eu juste avant d’arriver un repas un peu chargé … Alors au niveau de l’appréciation visuelle, ils étaient un peu limite. Alors ne voulant pas paraître un peu rustres, voyant deux couffins, ils ont mis ça sur le compte d’un abus de vins. Et en se concertant en douce, ils ont décidé de mettre leurs présents à côté de celui de droite.
Bref, voyant cela, Marie et Joseph un peu déboussolés, ont décidé de mettre sur le devant de la scène le petit jésus … Maurice, lui est resté dans l’ombre … et encore je suis gentil.
Voilà … ça t’en bouche pas la rondelle alors !!! Et encore, je ne te raconte pas la suite … car je me tâte. Dois je la révéler elle aussi ? Dois je l’écrire, tel que le ferait l’historien le plus rigoureux.
Non vraiment je me tâte. Et encore je ne t’ai pas encore tout dis. Je ne t’ai pas encore dis que c’est peut être pas jésus qui est mort en croix, mais son beau frère (Ben oui, le frère de la femme de son frère …) suite à une méprisable erreur d’un garde romain, plutôt ivre au moment de l’arrestation de Jésus (et je t’avoue qu’il n’y a rien de plus ressemblant à un barbu à cheveux longs qu’un autre barbu à cheveux long. Surtout s’ils portent des Djellabas …) … Mais bon, j’attend une confirmation (la traduction d’un vieux manuscrit en araméen acheté récemment sur Ebay …) … alors, hein, … Je ne t’ai rien dis …

Bon, c’est pas tout, …, mais j’aurais peut être flairé un scoop du côté d’un certain mahomet … Mais c’est pas sûr … Donc je te laisse, mes recherches scientifiques m’attendent … A +
Bon qu’est ce que j’ai foutu de cette fichue Chicha … Ah la voilà …

16 mai 2006

Ouf en bande

Ouf. Mon querido corazón m’a transmis quelques nouvelles ce soir. Loin d’être super réjouissantes, cela semble ne pas s’être trop mal passé. Mais bon, c’était le minimum attendu. J’ai pensé à ça toute la journée. Toute cette sainte et fichue journée, je n’ai pas réussi à mettre ça de côté. Pour dire quand même, combien j’y tiens à ce corazón … J’ai même eu une petite larme hier soir en pensant à ce qui devait se passer aujourd’hui …
Enfin, juste pour dire mon soulagement du jour. Vivement que je puisse la voir et juger de visu tout ça … J’ai encore un peu de soucis à me faire … Pienso en ti, querido corazón.

Causons sport.

Ce Week-End, Raymond a causé. Raymond a tranché. Nicolas, Johan, Robert, Ludovic … peuvent partir en vacances (Pas Robert, …, reste encore un match).
Bien évidemment personnes ne va être d’accord sur cette liste, la France, c’est connu, compte 60 millions de sélectionneurs … Eh ouais, même les enfants en bas âge le sont … (Tiens, j’en connais qui serait encore à l’état fœtal … Mais par pure discrétion et pour ne pas éveiller les soupçons de sa maman, …, je tairai son nom … indice : ça commence par « Jul » et cela finit par « ie ») …
Bref, si t’es sélectionneur de football, et si tu veux pas passer pour un kéké, t’as intérêt à la gagner la coupe. Sinon, …, pas sûr que tu finisses avec ta queue et tes oreilles … Raymond sait donc ce qui lui reste à faire.
Enfin, il n’empêche que nombre de femmes vont avoir un mois de Juin et un mois de Juillet tranquille. Ces messieurs auront Roland Garros, La coupe du monde et le Tour de France comme occupations. Pourront pas tout faire … désolé !

Bon c’est pas tout ça mes bons, mais je ne sais plus où j’ai mis ma paire de crampons … Pour vous dire comme ça devient inquiétant. Allez, je vous laisse les z’amis … j’ai vraiment à faire.

15 mai 2006

Querido corazón

Il y a parfois des choses difficiles dans nos vies. Des moments douloureux, des étapes, des épreuves que la vie nous octroie, …, et dont on se serait bien passé. En positivant un peu, on peut se dire qu’elles nous aident à grandir, à gagner en maturité. Mais bon, sincèrement, de vous à moi, on s’en passerait bien. La vie, elle pourrait les garder ses épreuves à la con. Et ce soir, veille d’épreuve capitale pour une personne qui m’est très, très chère, j’ai l’esprit occupé par ce qu’elle va subir. Par ce qu’elle va devoir supporter.


Estoy a tus lados mi querido corazón.



13 mai 2006

Les régis, roi d'la mécanique

Mumh ... de temps en temps la famille Régis organise des Week-end où ils s'éclatent comme des petits fous. Je dirais même plus ... ils s'éclatent ... franchement la gueule ... Ah, c'est beau ... cette capacité à dompter des engins plus dangereux les uns que les autres ... moi, je fais pâle figure avec ma clio toute pourrie ... Allez, j'y retourne ... A plus les z'amis ...


Régis et les sports mécaniques


PS : Et comme d'hab, on dit merci à cousine Isa ...

12 mai 2006

Yellow Sunshine

Vendredi 13. Robert, part au travail. Au passage il prend la poubelle que Simone (elle lui a dit que si elle était encore là ce soir, il pourrait monter une fabrique de ceintures et qu’il serait privé de dessert jusqu’à la St Glinglin …) a laissé dans la cuisine. Il se dépêche, sinon il va louper celui de 7 H 46, …, et après il sera en retard, et Gontran, son supérieur, l’enguirlandera une nouvelle fois. Robert a un peu couru sur les 100 derniers mètres, mais il a eu son train. Il est arrivé à l’heure. Une jeune fille l’a regardé. Elle a souri bêtement. Robert se dit qu’elle a intérêt à en profiter. Un jour ça passe. Pour l’instant Robert n’arrive pas à démarrer son ordinateur. Il appuie sur « Reset » … mais de nouveau le message de l’erreur inopinée sur la partition de boot survient. Il décroche son téléphone, et compose le numéro de la maintenance informatique. Jean-Claude doit être arrivé se dit t’il. Il ne remarque même pas qu’il n’y a pas de tonalité. Quand il s’en aperçoit enfin, il se dit que ce n’est vraiment pas son jour. D’ailleurs, c’est bizarre, il n’a croisé personne dans les couloirs en arrivant. Ça l’intrigue. Il ressort et effectivement il n’y a personne. Même le bureau de ce connard de Gontran, qui n’a rien d’autre à foutre que de constater les retards et à faire péter son grade, est vide. Robert est interloqué. D’ailleurs en parlant de loquet, il se dit qu’il irait bien voir derrière celui menant vers la partie réservée à la direction. Et magiquement la porte s’ouvre. Robert se dit qu’il y a vraiment quelque chose de louche.

La direction. Le saint des saints. Et pas une âme qui vive. Robert se gratte le menton. Soudain la porte de derrière qui s’ouvre. Une parfaite inconnue rentre précipitamment. Affolée. Robert la regarde. Elle est d’une beauté à couper le souffle. Elle regarde à droite et à gauche, en panique. Puis elle le voit. Elle court vers lui. S’arrête à 50 centimètres. Elle se met à parler. Un torrent de parole. Robert comprend seulement qu’elle est sortie de la bouche de métro, et que là elle s’est aperçu qu’il n’y avait personne. Pas de voitures, de piétons. Rien. Elle est redescendue … et là aussi, plus rien. Alors elle est ressortie et est entrée dans le premier immeuble qui venait. Et la voilà qui venait de pousser la porte. Robert se gratta la tête. Qu’est ce que c’était que cette merde. Ils l’emmena dans son bureau, prit son blouson, puis allèrent dehors. Tout ce vide, ça en devenait suffocant. Au bout de deux heures de déambulation en ville, ils n’avaient toujours pas croisé âme qui vive.
Robert prit les choses en mains. La fille semblait s’être calmée. Ils décidèrent que quitte à être seuls, autant l’être dans le luxe. Ils allèrent donc place de la concorde, et prirent ce qui se faisait de mieux dans l’hôtellerie. Ils prirent deux suites communicantes. Ils y avaient assez de provision pour tenir un certain temps. Robert ne voulut pas se projeter jusque là …

Deux semaines plus tard, leur quotidien était assez morne. Le désespoir s’était fait jour. Il avait suivi l’espoir de se réveiller dans son lit, comme si rien ne s’était passé. Justine, tel était le nom de sa co-prisonnière, et Robert avaient eu beau retourner la situation dans tous les sens, ils n’avaient nul idée de l’origine d’une telle situation.
Les jours passèrent … les semaines … Ils devinrent de plus en plus proche. Au bout de deux mois, ils se décidèrent à franchir le pas. Ils en étaient arrivés à la conclusion, peut être erronée, que Dieu avait peu être voulu repartir à zéro. Une sorte de déluge des temps moderne. Ils étaient les nouveaux Adam et Eve. Le père et la mère d’une nouvelle humanité. Ce fut torride et magique. Neuf mois plus tard naquit Angèle. Le premier enfant n’était pas un garçon, ce qui était un bon pressage, se dirent t’ils. Quinze mois plus tard, Vincent vit le jour. Robert avait transformé le Jardin du Luxembourg en potager. Les denrées des frigos, congélateurs et autres magasins étant devenu périmés avec le temps. Robert avait trouvé au bout du troisième mois des chevaux de la garde républicaine, qui par il ne savait quel miracle, étaient encore en vie. Mal en point, mais vivants. Pendant la première grossesse de Justine, il s’était aventuré avec dans la campagne environnante. Il avait fini par trouver des poules, des vaches, …, enfin toutes sortes d’animaux qu’il ramena en ville. Il y avait suffisamment de place. Il eut beaucoup de mal à tuer son premier taureau.

Les années passèrent. Justine et Robert avaient eu sept enfants. Ils devinrent grands parents … puis arrières grands parents … Et un soir, Robert se sentit las. Il alla se coucher. Et ne se réveilla pas … Du moins dans ce monde là. Car dans un sursaut, Robert se redressa sur son lit brusquement … Et merde, …, Simone l’avait laissé se rendormir … Il allait encore être en retard … En partant il oublia la poubelle … Simone allait encore gueuler ce soir … Mais putain quel rêve …

10 mai 2006

Message pour un seul être (ou un être seul ?)

Ce message est pour toi. Tu ne le liras certainement jamais … mais je tenais vraiment à le dire. Ne pouvant te le dire directement, j’en passe par mon petit monde …
Alors voilà, …, si ce que je ressens, que je devine entre les lignes, s’avère bien fondé, sache que je suis avec toi. De tout mon être, de toute mon âme. Je pense à toi, à l’épreuve que tu vis. Ton silence, ma mise à l’écart je l’accepte. J’espère juste que tu me reviendras telle que je t’ai quitté il y quelques semaines. Je l’avoue (mais ça je l’ai déjà dit) tu me manques.

Alors niña, petite fille à qui, même si tu n’es pas de ma rue, je donnerais tout ce que la chanson promet (et bien plus), … prend soin de toi. L’épreuve est sûrement dure et je ne pourrais pas vraiment l’atténuer, …, je sais mon incompétence en la matière.
Suerte querida corazòn.

Why ?

Non, mais dîtes moi, pourquoi il est venu là. Je me tape le front … c’est pour vous dire mon incompréhension …
Hein, …, parce que la recherche « Viens là que je t’encule » … et ben je suis pas franchement pour … Je dirais même plus, à l’instar de Maître Capello, je suis carrément contre.
Eh machin, …, ne compte pas sur moi … non mais … C’est pas parce que le titre d’aujourd’hui c’est « laisse venir » … qu’il faut t’enflammer …

Bon, je retourne méditer les z’amis … je suis choqué … outré … Alors à plus tard …

8 mai 2006

Weather man II

Où est ce que tu te caches, vil gredin ?
Tu devrais montrer le bout de ton nez, …, l’attente ne fera que renforcer mon courroux. Allez, sors de ta cachette …

Que je vous explique. Hier (si tu es un gentil z’ami lecteur, tu devrais savoir de quoi qu’on cause …) j’ai gentiment demandé à Monsieur Météo de faire en sorte que cette journée, soit agréable … donc si possible pas pluvieuse. Ne soyons pas plus royaliste que le roi, ne demandons pas un grand ciel bleu avec un franc soleil. Et que croyez vous que cet empaffé fit. Nada. Rien. Il a plu des hallebardes.
Et le pire, c’est que je m’étais aventuré en forêt afin d’oxygéner mes poumons atrophiés par la pollution urbaine … quand il se mit à pleuvoir. Bon comme je suis un gars pourvu d’une chance incommensurable, qui se situe de plus dans un cycle de maximisation entre Jupiter et les anneaux de saturne avec en son travers la constellation de cassiopé (ou un truc dans le genre …), évidemment j’étais sur le point de faire demi tour. Donc, le plus loin possible de mon aventure en forêt. Autant vous le dire, j’ai eu le temps d’en profiter … des hallebardes …

Par conséquent, …, toi, Monsieur Météo, …, je te conseille de vite trouver où se planque Ben Laden et d’y carrer ton fion à ses côtés … cela vaudrait mieux pour tes abattis … M’enfin c’est juste un conseil.

Allez les z’amis, en attendant que mon linge daigne sécher, je vous laisse … je sens que demain matin il fera le même temps qu’aujourd’hui … et je vais chercher l’adresse de cet empaffé de Monsieur Météo. Ça se trouve il ne lit pas mon blog (deuxième erreur … ça aggrave la première !!!) et je vais le cueillir au saut du lit … Allez, à plus …

7 mai 2006

Weather man

Mumh, ..., un coin de ciel légèrement ensoleillé semble bien vouloir poindre ... Je commençais à désespérer … Parce qu’avec l’âge je deviens exigeant … Quand je ne travaille pas, je veux, …, j’exige qu’il fasse beau … Un point c’est tout … Alors hier, il est déjà tombé des cordes, ça suffit comme ça …
Alors, demain, Monsieur Météo, …, si tu veux pas encourir mon courroux, t’as intérêt à négocier (comment ? … tu te débrouilles … C’est pas moi qui t’ai poussé à faire ce job …) un beau petit ciel printanier (limite estival) … pour que moi, je sois content. C’est pas plus simple que ça … Donc à demain, … Tâche d’assurer … Sinon …

6 mai 2006

Un jet clair, mon oeil ...

Depuis quelques semaines, avec un regain d’intérêts ces derniers jours, on nous parle en long et en travers de l’affaire Clearstram. Mais de quoi parle t’on. D’une liste de noms qui a été trafiqué pour faire apparaître des noms n’y figurant pas. En clair ( !), qu’est ce que j’en ai rien à foutre ! Ils tombent d’où ceux qui s’étonnent qu’une république se laisse aller à de telles obscures manœuvres. Laissez moi rire. Que je sache, la DST, la DGSE & Co, n’ont toujours pas été supprimés. Les barbouzes quoi ! Et que fait une barbouze ? Ben des obscures manœuvres …
Bref les « saintes nitouches » du pouvoir (attention, pouvoir ici veut juste dire qu’au titre de leur mandat électoral, ces personnes ont un pouvoir … that’s all) qui s’offusquent en ce moment, ne sont que de vils politiciens récupérateurs de la moindre affaire pour se faire mousser le cul (Tiens … j’aurais peut être une recherche google avec ça !!!). Rien d’autre.

Parce que si vraiment ils avaient les couilles qu’ils semblent prétendre avoir (au cul, oui … je travaille mes requêtes google … faut pas s’inquiéter …), ça fait longtemps qu’ils auraient du s’intéresser à l’affaire clearstream. La vraie. Celle de la grande lessiveuse Luxembourgeoise. Celle révélée, criée comme il a pu par Denis Robert. Un type à qui on a fait les pires emmerdes parce qu’il avait mis le doigt là où ça fait mal. La probité de nos dirigeants Européens. Ce type qui avait écrit jadis un livre intitulé « Pendant les affaires, les affaires continuent », qui si nous avions un brin de logique aurait du nous pousser à ne plus voter pour personne … du moins tous ceux cités dans son livre … Au lieu de ça, malgré les condamnations, dont des peines d’inéligibilité, ils sont à 99% tous réélus depuis. Si en plus on pousse à la bêtise … que voulez vous !!!

Bref, l’affaire clearstream n’a rien à voir avec celle qui perturbe le bon transit de nos trop honnêtes hommes politiques. Les pauvres, si ça se trouve, y’en a certains qui font caca mou. Que cela doit être contrariant. Mais trêve d’ironie, je ne peux que vous inviter à lire les livres de Denis Robert. A voir son film sur la « vraie affaire Clearstream ». Vous saurez alors que franchement, les préoccupations du sommet de l’état c’est du vent, de la pisse de sansonnets. Pendant ce temps là, la situation de notre société n’avance pas. C’est dommage. J’aurais crû qu’ils avaient été élus pour ça. Oups, si je continue je vais finir par rejoindre ceux qui tombent de je ne sais où, cités plus haut … la honte, j’vous dis pas …

Allez les z’amis, à plus … je sais j’ai encore fait monter ma tension pour rien. Mais c’est plus fort que moi. Tchusss.


PS : La vraie affaire Clearstream, …, si j’ai bonne mémoire (mais cela reste à prouver), seul le gars Montebourg a essayé de s’y intéresser. Pas très loin. Mais si on doit retenir un truc, c’est qu’il a essayé.


Edith le confirme. C'est bien le gars Montebourg qui conduisait une mission parlementaire.

4 mai 2006

Message à caractère informatif

Oui, je dirais même pûrement informatif.

Donc, je tiens à faire savoir à qui de droit, que le nouveau slogan de la chaîne de restaurants "La criée" est, deux points, ouvrez les guillemets ...

En mai, la Crevette fait ce qui lui plait

Je connaissais un chagrin d'amour qui disait que chacun pouvait aussi le faire ... mais c'est une autre histoire ...

Sur ce, gentil z'amis, à la prochaine.

3 mai 2006

A la recherche du …

A l’instar du gars Marcel, longtemps je me suis couché tard. Je ne peux pas dire que cela ait apporté de considérables bénéfices à ma p’tite vie.
Longtemps j’ai couru après des rêves chimériques, des utopies à la peau bien trop lisse … Cependant mon esprit ne peut s’en détacher. Malgré qu’au fond de moi j’aspire (like a hoover, …, ouh, just for the very first time …) à m’éloigner le plus possible de ces aspirations encombrantes, il est une lueur secrète qui à jamais me ramène vers elles. Rien ni personne n’ont changé fondamentalement certains de ces rêves. Rien.
J’ai beau me dire qu’à chercher l’inexistant je finirais par ne rien trouver et à rater l’existant, je continue malgré cela à chercher.
Oh, j’ai bien dès fois crû avoir enfin déniché un de ces rêves, mais tel l’eau d’une clepsydre il m’a filé entre les doigts, aussi joint ai-je pu les tenir. C’est regrettable et rageant au plus haut point.
Ces derniers jours, j’ai conceptualisé d’en attraper un nouveau. Mes mains se sont avancées, et l’ont saisi le plus délicatement qu’elles ont pu. Je n’ose plus bouger, plus respirer. Je sens qu’il est là. Je n’ose desserrer les doigts pour jeter un œil. Pourtant je sais qu’il est là au creux de ma main. L’enfermer sous vide serait la solution … mais je ne pourrais alors que le contempler. Inutile il me serait alors, aurait dit maître Yoda. Non, il faut qu’une nouvelle fois j’entrouvre mes mains, en laissant un creux assez profond pour que le liquide daigne rester. Vais-je y arriver. Ne sera-t-il pas capricieux. Et si c’était un rêve gazeux. Trop de questions et pas assez de réponses. Des bonnes en plus. J’hésite …

Longtemps je me suis couché tard à force de me demander si je devais ouvrir mes mains jointes. Longtemps j’ai hésité … Tellement longtemps que prit de crampes, bien souvent je laissais tout échapper. Ce soir j’ai décidé de me coucher tôt. J’ai rusé, …, j’ai mis le liquide précieux dans une bouteille. On verra bien demain.

Sur ce les z’amis, pour joindre la parole à l’action, …, bonne nuit. A plus.

2 mai 2006

Mou du fion

C’est marrant chez le roi du hamburger … Y’a du boulot pour quatre … et justement on est quatre (même pas vrai … en fait on est plus … à quatre on y arriverait pas) … Bref, tout ça pour dire que … zut alors … que cette journée fut longue … Moi qui n’avait plus l’habitude … ça m’a vanné … 8 heures – 21 heures … J’ai déjà fait pire … mais allez savoir pourquoi … là … j’en ai plein les bottes (bottes que bien sur je n’ai pas !). Peut être que m’endormir à 3-4 heures du mat et me lever à 6 H 30, ça le fait pas … Ouais, vous avez raison, ça ne le fait pas … On va donc pas tarder (moi et moi-même) à aller se pieuter …
Mais avant de vous laisser bande de petits grigoux (C’est comme hibou, genou, caillou vous croyez ???), pour ceux qui adore la starification (Eh … j’ai pas dis la scarification … les deux peuvent être douloureux certes … mais quand même), j’avais promis de mettre le scan de l’article sur les gloires du net, …, dont le petit Vin2 fait parti. Donc voilà, c’est fait …

Bon en espérant être un peu plus péchu la prochaine fois, je vous laisse les z’amis, …, j’ai hâte d’être In Bed With Babou … (Toute proposition de compagnie féminine … sera par ailleurs sérieusement étudiée … Références exigées !). A plus.