25 janvier 2012

"Pour une république irréprochable" ...


C'est ça qu'il disait p'tit Nico ...
Fini les privilèges ... les deniers de la république, la justice de cette dernière, ..., allaient être scrupuleusement respectés ...

Autant demander à un aveugle s'il veut voir ... pffffuuffff ...

Et qui c'est qui c'est encore fait remarquer ...
Et oui ... Nadine ... (bon Ok ... c'était facile)

Bref ... M'ame Nadine DE Morano, pressée de retourner à Toul (probable centre du monde), se fait escorter vers Villacoublay ... (Oui la Nadine ne prend pas le TGV [Pas assez chère ma fille !!!] ... avec la plèbe, les gueux ... t'es ouf où quoi z'ami de penser un truc comme ça ... fait gaffe, ils ont les moyens de te ruiner ta race !!!) ... Mais comme tu le sais z'ami, la fluidité légendaire de la circulation Parisienne pousse le convoi à "légèrement" enfreindre la législation autoroutière en s'engageant dans un sens interdit. Et là non pas Paf le chien, mais Paf le pièton !
Le pauvre ... deux jours de Coma ...

Clique ... pour agrandir Nadine (!)


M'enfin puisque nous sommes dans une république irréprochable, c'est pas le genre d'info super relayée ... Merci au volatile tout de même de nous le signaler. Quant à Metro (Filiale de TF1, Aka Bouygues), y'a du stagiaire qui va morfler en dégageant rapido !!! A moins que Martin soit devenu soudainement anarcho-autonome, ..., dans ce cas ... l'a peut être un chance de ne pas finir couler dans du béton (on s'y connaît chez Bouygues, hein !) le stagiaire ...

Sur ce z'ami, tu comprends bien que j'aille vérifier qu'il n'y ai pas une toupie en bas de mon HLM ... ça serait suspect ... Allez tchô !



20 janvier 2012

Les moussaillons des douleurs


Allez devoir imposé.
Je pose le titre : Les moussaillons des douleurs

Oh, putain de bordel … c’est quoi ce thème à la noix qui vient de me passer par la tête.
Les « Moussaillons des douleurs » … et pourquoi pas les surfeurs des maux tant que j’y étais.
Pffuuffff, qu’est-ce que je vais bien pouvoir pondre moi avec ce sujet.

Bon allez, tout d’abord moussaillon. Apparemment ils sont plusieurs. Si, y’a un « S ». Comment ça il y en a trois. Eh … mais c’est que t’es un comique au fond toi. Bref … il y a des moussaillons. Je crois qu’effectivement, cela peut sous-entendre que nous avons affaire à des jeunes et en apprentissage. Le moussaillon n’est d’ailleurs que ça. Un jeune apprenti marin. Au passage il est un certain capitaine, commandant, qui a du oublier de l’être formé correctement. « Vada a bordo, cazzo ! ». Bref me voilà avec du jeunes à pompon rouge. Le rouge de la passion ? Le rouge du sang qui lentement s’écoule dont on ne sait quelle blessure. Allez savoir. En tout cas, ça a l’air de faire mal. Ben sinon que viendrait faire là cette histoire de douleurs.

Janvier 1932. Dans le port le navire se devine dans la brume. Le vent souffle et pourtant la brume est là, tenace. Le capitaine jure dans sa cabine en se resservant un verre d’un alcool dont seuls ses aïeux ont le secret. De la berluche. Clair que ça te file la berlue rapido. De toute façon vu le temps, l’ancre ne sera pas levé avant le lendemain matin. Il maugrée contre ce coup du sort. Il a même laissé les trois mousses descendre au port. Il faut bien que la jeunesse s’amuse. Il le sait. Sinon jamais il n’arriverait à quelque chose de bon avec eux. L’alcool descend lentement, lui brûle la gorge. Il sent le feu descendre le long de sa poitrine, puis de son ventre. La nuit sera plus courte l’esprit en adéquation avec l’environnement météorologique.

« Chez Erwan ». C’est le nom du rade où les trois mousses ont élu temporairement domicile. Eux aussi goûtent l’âpreté de la distillation frelatée locale. Au fond, près des toilettes, leur regard ne peut se détacher de l’affiche. Des froufrous, de la jeune fille délurée levant la jambe. Erwan (enfin on suppute qu’il s’appelle comme cela le tenancier), qui vient les resservir et les voyant comme hypnotisés leur indique qu’ils sont en retard … que le spectacle a eu lieu à la salle des fête la semaine passée. Même qu’il y a eu bagarre d’ivrognes à la sortie. Les 3 jeunes mousses, le regard un peu dans le vague, regrettent cette déveine. Tout ça à cause des maudites vagues … 10 jours de retard qu’ils ont pris. Ça se trouve ils auraient pu en être. Même de la bagarre. Louis en serait capable.
Il se chicane pour un oui ou non Louis. Alors Pierre et Léonce doivent souvent le suivre. Histoire qu’il ne soit pas seul.
Pierre se dit que rien n’est pire que la solitude. Qu’on en crève même. D’ailleurs c’est pour y échapper qu’il s’est embarqué sur le navire du vieux. Bien content de tomber sur ces deux acolytes. Plutôt alcooliques pour l’heure. Léonce est parti aux toilettes. Léonce il ne tient pas autant que Louis et Pierre. Sûr qu’il va vomir. Léonce n’est pas à un rendu prêt se dit-il.
Alors que Léonce revient, le bruit d’une embrouille leur parvient de l’extérieur. Erwan prêt de la porte leur signifie que quatre marins ont l’air de se disputer vertement.
Les trois mousses se lèvent et se dirigent vers la porte. Ils sortent dehors pour aller voir cette affaire.
Les marins ont l’air étranger. On ne comprend pas ce qu’ils se disent. Eux aussi ont dû forcer sur la boisson.
Et voilà que Louis se met en tête de les séparer. Pierre essaye de l’en dissuader, que ce n’est pas leur oignons, Louis n’en démord pas. Il se jette au milieu des quatre furieux.
Pierre l’aurait parié, les quatre belligérants, d’un seul coup comme un seul homme, redeviennent équipiers et projettent Louis au sol. L’amitié parfois ça fait mal, et c'est fort logiquement qu'en son nom, Pierre et Léonce rejoignent le pugilat.
Hélas la fougue de la jeunesse ne put rien contre l’expérience des quatre loups de mers. Des Polonais apparemment. Et c’est trois moussaillons endoloris qui restèrent sur les pavés. Erwan, s’approcha pour regarder les dégâts. Ce n’était pas beau à voir. Cependant en bon commerçant il leur rappela rapidement qu’il fallait venir régler la note.
Oui parfois la vie ça fait mal. Puis c’est souvent les plus frêles qui prennent. Les moussaillons des douleurs.

Oui bon … ben j’ai fait ce que j’ai pu … Je voudrais t’y voir z’ami … Avec un tel tirage … Bon, sur ce il se fait tard, alors je vais aller rejoindre Morphée … c’te feignasse. Allez tchô et à la prochaine!


10 janvier 2012

Saloperie de pauvres !



Vue in zeu canard enchainé

A mort les pauvres.
Enlevez-moi tous ces gueux. Allez hors de ma vue. Hors de mon territoire, de mon habitat, de mon environnement.

Je n’en peux plus de ces traînes savates, de ces smicards, de  ces « rsaistes », de ces chômeurs à la petite semaine … qui au prétexte de ne pas trouver de logements, ou pis, de ne même pas avoir les moyens de s’en payer un, viennent camper ou loger dans des mobiles home à l’année. Touristes va.

Bandes de va nus pieds en tongs (Quel snobisme … ce n’est pas parce qu’il y a un réchauffement climatique qu’il faut fanfaronner) … sachez que l’UMP, ce merveilleux parti emplit de générosité envers son prochain (enfin … si ta fortune te permet de bénéficier de niches fiscales que cet admirable parti a su mettre au point … genre niche Copé, etc …) va enfin vous atomiser et faire cesser cette hérésie. Il va vous faire retourner croupir dans le coffre de vos GS, ou vous faire retrouver l’odeur du carton humide. J’espère même qu’il rendra hors la loi la vente de Queschua, véritables horreurs qui souillent nos si jolis paysages … urbains !

Camarade, à l’heure du vote, n’oublie pas cette formation politique, cette organisation philanthropique qu’est l’UMP, qui n’a d’autre visée que de rendre plus respirable notre hexagone, en la débarrassant de ces poids morts que sont tous ces pauvres hères. Certains crieront à l’eugénisme par le fric. Et je répondrais … "oui, tais toi sale pauvre !". Puis prends garde que l’on ne ré-ouvre pas de sinistres camps. Allez disparais de ma vue !

Sinon sur ce z’ami je te laisse, j’ai comme un petit haut le cœur, un goût rance … une envie soudaine de vomir.
A la prochaine. Tchô. 


8 janvier 2012

C'est bon l'indignation (Et contagieux)




Bon, ils commencent petit et doucement ... mais on ne sait jamais, ils vont peut être finir par venir grossir les rangs ...
S'ils veulent l'adresse pour trouver des "Queschua", je peux leur en donner plusieurs ... ;-)



2 janvier 2012

Béta testeur


Dès fois, il faut bien avouer, je suis un béta ...
Alors je teste ...
Aujourd'hui par exemple, je teste la publication via mobile (j'suis un geek tout guedin dans ma tête) ...
 
1er avis : appli blogger bof, bof. Manque plein d'option de mise en page ... italique ou gras et puis c'est tout, ça fait un peu pauvre ...
On verra si ça va s'enrichir avec le temps.
Sur ce z'ami, je te laisse et à la prochaine. Tchô!