17 septembre 2014

Il est passé par ici, il repassera par là ... (Ou pas)


Pourquoi - Parce que
Mon dieu (ou autre entité céleste … ou pas !) ça fait longtemps que je n’ai pas causé au monde de l’araignée !
Mon petit monde se meut tant bien que mal et venir ici y confier quelques parcelles de celui-ci avec toi z’ami (y’en a-t-il au moins encore un ?) était devenu comme quelque chose de vain. Enfin pour moi.
Et si je recause ce soir (oui … nous sommes le soir … ça doit avoir son importance si je le note, non !), pas sûr que cela soit  pour que ce monde virtuelle ait un nouveau départ.

Pourtant, j’en aurais des énervements et autres râleries à étendre ici sous le cliquetis de mon clavier …
Cependant rien de ça … Juste qu’il doit y avoir un trop plein ce soir … Des questions éternelles dont je n’aurais jamais les réponses.
Des pourquoi … sans parce que.

Bref, des fois à force de ne pas comprendre … j’écris. Peut-être ai-je le sombre espoir que la solution jaillisse de ce néant. Je n’en sais rien.

Pour tout te dire z’ami, ton serviteur semble perpétuellement s’attacher à l’impossible. Genre se pâmer devant une belle plante, qui elle-même (Mais ne m’aime, hein !) se pâme finalement pour une autre plante. Rien à foutre du gros-plant Nantais (ou d’ailleurs … je n’ai pas spécifiquement de quoi revendiquer une quelconque appartenance Loire Atlantiquaine) en quelque sorte. Je la regarde évoluer, virevolter autour de moi. Et puis quand sûr elle un ciel noir s’abat, je tremble pour elle, comme un gland (pffuffff … marre de la métaphore horticole !). Je n’aime pas la voir plier sous ce vent contraire. Je ne devrais pas … mais que veux-tu z’ami … n’est stupide que ma stupidité !

Et puis y’a aussi l’ami japonais … mon ami intime qui me bouffe des petits bouts comme ça, par moment. Et des fois, je tombe. Las, fatigué. Le support chimique plus assez en phase avec l’état du patient. Dans cette faiblesse, mes faiblesses tournicotent (Dédicace petit Pollux ;-)) et m’amène tant de pourquoi sans parce que.

Voilà … ce soir trop de pourquoi, de frustration de me dire « c’est comme ça petit, c’est la vie ». Puis comme ça, l’air de rien je tapote cette chose, ces mots qui ne veulent pas dire grand-chose. On me dit dans l’oreillette que si pourtant … Je reste malgré tout circonspect et dubitatif.

Bref … voilà z’ami … de la news sans news. Sûr que j’aurais pu dire du mal de François, Nico, Emmanuel, Alain, etc … Mais sur l’instant, là … pas envie (Et pourtant … ça aussi sa soulève plein de pourquoi … ;-)).

Allez sur ce z’ami je te laisse, et à la prochaine (ou pas !).

Tchô !