23 avril 2020

Petit père


Born in Fr ...
Si tu as de bons yeux z’ami, tu devineras à l’arrière-plan de ce blog un personnage dans l’ombre, face à la mer et au soleil couchant. [En espérant qu’un jour il ne me prenne pas l’envie de changer l’apparence de ce petit monde ;-)]

C’est mon petit père. Il nous a quittés il y a exactement 3 ans aujourd’hui. Maudit 23 Avril 2017. Abandonné par le je m’en-foutisme des chirurgiens de l’hôpital où il séjournait.
Aujourd’hui la colère me prend en repensant à ces saligauds qui n’assument toujours pas leurs manquements …
M’enfin bref, halte à la rancœur, ce billet n’est pas fait pour ça.

Ce billet est un clin d’œil, une pensée en souvenir de mon petit père ainsi qu'à sa dernière chienne, que tu peux entrevoir itou en sa compagnie sur l’arrière-plan. Elle est partie le rejoindre un peu plus d’un an après sa disparition.
S’il y a un ailleurs (ce dont je doute un peu), sûr que ces deux-là sont exactement à l’endroit de la photo à regarder un coucher de soleil, profitant de la vue et de leur mutuelle compagnie.

Et ce jour est double jour de tristesse, car je n'ai pas pu me rendre au cimetière où repose les cendres de mon petit père. Cimetière hélas trop loin pour cette période de confinement … Qui aurait envie de débourser 135 € ?

Pas moi en tous cas, car en dehors d'un hypothétique statut de millionnaire se croyant au dessus des lois (A mon grand regret, je ne le suis pas ... Millionnaire ... tout comme au dessus des lois),  j’estime finalement que ces 135 € sont mieux auprès de moi que des caisses fort souvent malhonnêtes de l’état ;-). Bref, j’irais dès que le confinement sera levé.

Bise petit père. A très bientôt aux vents de la lande ;-).


22 avril 2020

Maison tree


"M" ... les maudits !
Voilà … Confiné et chômeur.
Je regarde l’arbre devant mon immeuble qui s’est fait faire le maillot juste avant le confinement, les derniers coups de vent de cet hiver l’ayant rendu un brin dangereux pour les quidams qui venaient à circuler dans son proche environnement.

Il en a de la chance cet arbre me dis-je en me passant la main dans la broussaille me servant de casque capillaire (Je me plains à moitié, j’ai encore du cheveu … j’en connais des moins fournis en la matière !) qui pousse à vue d’œil …

Et là tu me dis z’ami : « Tu commences à mal tourner gamin, tu commences à discuter avec un arbre » !

C’est pas faux … mais pas vrai.
Je me parle à moi-même ! Après est-ce vraiment sain … les exégètes se disputent encore sur le sujet, c’est pour dire !

Sinon, revenons à mes bâtards d’employeurs (Indice y'a un gros « M ») qui afin de bien nous exciter les abeilles, s’autorisent à ne pas effectuer nos STC (Je rappelle, 4 autres collègues ont été viré en même temps que moi) … Du coup, je me suis fait harceler (Mais gentiment … juste un SMS, un mail, et 2 appels téléphoniques le même jour, mouarff ;-p) par pôle-emploi pour que je leur fournisse le précieux sésame officiel ... que je n'ai pas !
Et dire que les gars (les bâtards hein, y’a quand même des ex-collègues de sympa !) ont envoyé un mail suite à nos licenciements (mais sans aborder le sujet) juste pour promouvoir leurs compétences et leurs excellences. Autant vous dire que le monde de « M » se gausse encore aujourd’hui de la missive face aux lacunes (Je reste polis … le mot est encore bien loin de la réalité) de ces « experts » qui n’en ont que le nom …

Bref, je pense qu’ils continuent leur travail de sape psychologique … qui ne sert à rien, car je crois qu’ils n’ont pas compris qu’ils nous avaient virés, les cons !
Et tout cela après nous avoir fait convoquer par la maréchaussée (Je vous conterais cette agréable joyeuseté en temps utile, quand nous aurons pu être auditionné (c’est reporté à cause du confinement), et ainsi savoir exactement sur quoi ils ont porté plainte, et le pourquoi du comment), et avoir essayer de répandre au sein de la société que nous nous serions livrés à des malversations (Alors qu’on en a aucun pouvoir et que les motifs (bidons … je le répète) de nos licenciements sont personnels et à des milliards de kilomètres de ça), histoire de justifier le fait d’avoir saquer 70% du service !

Je pense que ça fait le régal des gens de lois dûment mandatés sur le sujet qui se délectent déjà des discussions futures (Autour d’une table, au détour d’un couloir de tribunal, etc.).

Re-bref, je me suis repassé la main dans les cheveux en regardant mon arbre élaguer de près en me disant « Les cons … vraiment les cons … ça osent tout ! ».

Puis j'ai repris une dose de gel hydroalcoolique !

[A Suivre]



11 avril 2020

Maison too ...

The Mask !
Oui … aussi.
Si je recause un peu ici, c’est aussi dû en partie à la redondance de l’action fondatrice de ce blog. Sa source originelle était un lâche licenciement … Un truc dégueulasse, sans raison (Enfin il y en a toujours une, mais bien souvent cachée, n’ayant généralement pas trait au travail, bref je le redis, bien dégueulasse et lâche).

Ça m’avait tellement fait mal intérieurement, que ton serviteur z ‘ami, avait ressenti une vaste vague de désespoir et de colère s’emparer de lui et, à l’heure des blogs naissants, les avait couchés et canalisés sous les cliquetis de son clavier, en déversant et confiant ce trop-plein aux limbes de la toile.

Avec le temps, les colères et agacements s’étaient diversifiés au fur et à mesure que la colère originelle était digérée.
Tout cela m’avait permis de parler avec d’autres inconnus et inconnues, dont certains me sont encore aujourd’hui chers … voire très très chère (Indice, maison d’indien … mouarff !). [Ndla : Certains ne sont, donc, plus inconnus]

Puis vint le temps des réseaux sociaux, auxquels hélas votre serviteur z’ami n’accrocha pas (J’ai pourtant eu très tôt un compte Facebook (la version française n’existait pas encore, pour dire ;-)) …
Tweeter, instagram, etc., je n’en ai ressenti que le pire (Malgré les qualités qu’ils peuvent aussi parfois avoir), de ces espèces de tribunaux,  trop souvent présidés par la médiocrité, la haine …
Ces derniers prirent rapidement la place des blogs, qui tombèrent en désuétude. Les blogs amis disparaissant, la flamme s’en allait aussi chez moi. Bref un jour, malgré le fait que mes agacements face à la vie et au monde fussent toujours constant et là, le bruit des cliquetis de mon clavier s’est tu il y a quelques années.

Et puis paf (Non, pas le chien … sinon les vegans vont me brûler au pilori) voilà que rebelote … lâche licenciement. Et en plein confinement qui plus est.
Tu comprends que là, j’ai les abeilles … être viré pas des crapauds, des puants (Des personnes qui en temps de guerre te dénonceraient à l’ennemi sans que ça ne les touchent le moins du monde) ça énerve ton serviteur z’ami …

Bref me revoilà (et je pense que ça sera temporaire … Non ne pleure pas, ça ne sert à rien … Oui j’ai bien pris en égocentrisme apparemment … Hi, hi, hi …) … Pas encore masqué (Malgré le pseudo anonymat … Tu veux mon IP ;-p) car les millions de masques que nos gouvernants (Macron & Co) nous promettaient avoir pour nous, n’engageaient, comme les promesses du personnel politique, que ceux qui y croyaient.
Re bref, c’est reparti tranquillou … on se reparle sous peu.

Allez tchô z’ami.

9 avril 2020

Maison ...

Diantre, ça faisait un bail ... des années ... Bouh, ça sent le renfermé, la poussière ...

Ça tombe bien nous sommes en plein confinement ...

Oui parce que si je recause, c'est que la planète est en crise ... sanitaire.
La nature c'est rappelé à nous pour nous faire comprendre que nous ne sommes plus les bienvenus parmi elle ... Eh, eh, eh ... Restez chez vous, dans vos maisons. Sinon, je peux aller jusqu'à vous tuer !!!

Bref, aujourd'hui, tour de chauffe reprise (Qui sera certainement que temporaire) avec des ondes aériennes spéciales Hashtagrestezchezvous ... Rien de moins que ça.

Je rajouterais les titres dans quelques jours .. histoires que tu cherches, z'ami, les titres composant ces ondes aériennes ...

Allez tchô et bonne écoute ;-)