7 août 2020

Pour solde de tout compte ... Euh non, pas encore !

 

STC mon amour
STC Mon amour
Alors où en étions nous les z’amis …

Non parce qu’il s’en est passé des choses depuis tout ce temps !
Déjà, moi et quelques ex-collègues nous avons connu les joies de notre première convocation au commissariat … et ouais, en vrais délinquants que nous sommes ! Nous y étions bizarrement en tant que « témoins », mais pour un événement auquel nous n’avons pas assisté (Je rappelle que nous avions été « physiquement » mis dehors par notre employeur au moment des faits reprochés). En d’autres termes, nous étions plutôt convoqués en tant que probable coupable. D’ailleurs la maréchaussée nous a bel et bien posé la question : Est-ce vous les coupables ?
Non mon lieutenant.
Bref, notre ex-DRH a tout simplement porté plainte contre X, … mais en nommant les X … C’est particulier comme notion !
Subséquemment, la police perd son temps dans des procédures vaines, pour lesquelles nous nous sommes sentis obligés de nous excuser pour cette perte de temps (Sûr qu’il y aurait d’autres priorités à gérer, que les allégations douteuses d’une DRH cherchant comme feu le bandit Pasqua, à noyer le poisson en créant une affaire dans l’affaire).

Pour conclure : Nous n’avons vraisemblablement pas trop de soucis à attendre, dixit les navrés membres de la police à la lumière de toutes nos procédures.

Ceci étant dit, toujours sur le front de l’emploi, Big « M » avait aussi porté plainte contre son instance du personnel, qui voulait depuis le début (et à notre demande expresse) qu’une enquête ait lieu suite à un risque psycho-social manifeste et de plus en plus grand. Las, le DRH s’y opposait, et en dernier ressort déclarait que s’il y avait enquête, c’était à lui de l’effectuer (génial, juge et partie). Confinement oblige, le jugement est tombé fin mai. Enquête il y aura bien monsieur big « M », votre malhonnêteté ne prend pas, le risque est plus qu’avéré. Allez hop au suivant.
Bon, ayant été licenciés entre temps, nous n’avons pu participer à cette fameuse enquête. Qui in fine, c’est conclue par : « oui il y avait un risque, qu’il y a toujours un risque du fait de l’employeur et un bon tas de branques dans le management » (oui je résume, c’est dit plus courtoisement). C’est dommage d’avoir eu raison depuis le début, mais le but de big « M » était de nous virer, et ça, ils l’ont bien réussi … sniff, sniff.

Ah oui z’ami que je te dise, le DRH (Oui, l’imbu de lui-même qui nous a viré sans motif !) a lui aussi bénéficié d’une réorientation de carrière soudaine (Quand ce n’est pas toi qui annonce par mail que tu pars pour d’autres projets, c’est généralement pas bon signe ;-p) … Allez hop, circulez, il n’y a rien à voir ! (Ne vous inquiétez pas pour lui, il était là en fusible de notre Very Important DRH en cheffe, et il n’a certainement pas été mis à la porte sans une grasse compensation !).

Allez rendez-vous à la rentrée pour la suite de ce mauvais roman (Oui là c’est les vacances judiciaires !).

Sinon, l’été s’en est venu, assez chaud pour l’instant, et pour ce qui est du front de l’emploi, c’est morne plaine à ce jour.
Pour pôle-emploi, j’ai posé une question il y a plus de 3 mois, j’attends toujours la réponse (je crains d’être tout sec avant qu’il daigne me répondre, enfin si un jour il daigne … Par contre j’ai déjà reçu 3 mails pour répondre à un sondage sur la qualité de leurs services : Bon pour l’instant, moi aussi je daigne … mouarf !)

Voilà, voilà, j’aurais bien encore des trucs à dire z’ami, mais là c’est canicule, j’ai la flemme, alors je vais « daigner ».

Mais on verra ça la prochaine fois z’ami … (Ou pas).
Allez tchô.


PS : Quoi z'ami, mon solde tout compte ??? Août 2020, toujours pas conforme ! (La question est bien répondue là ! ;-))



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