14 juin 2011

Enfonceurs d'olives (en douce ?)


Non mais ils ne veulent pas rétablir l’esclavage aussi !

Bon on va me dire que je ne suis pas solidaire, que je suis vilain pas beau … mais « oh » faudrait voir à arrêter la machine à connerie.

Non mais c’est quoi encore que cette nouvelle (enfin pas si nouvelle que ça … elle traîne depuis quelques temps et réapparaît au gré du vent ... politique !) journée de solidarité ? Enfin cette deuxième journée de solidarité.
Il y aurait même dans la tête de certains l’idée formidable de sucrer la 5ième semaine de congés … si ! Rien de moins.

Et Raffarin (Papa de la première du nom) d’embrayer en expliquant qu’on a qu’à sucrer un jour de RTT … Sauf ducon que des RTT, à titre personnel j’en ai pas. Et que je ne suis pas le seul.

Et puis c’est quoi ce principe que ça coûte cher les vieux et leur dépendance, par conséquent je finance ça à part.
Ben tant qu’on y est pourquoi ne pas faire une journée pour les trisomiques, les autistes (dont la prise en charge et les structures d’accueil ne sont guère mieux, j’en sais quelque chose) … et autres propriétaires de caniches nains à trois pates (exemple pas l’absurde … désolé !).

Et à quoi servent nos impôts si à la fin tout devient un coût à part. C’est quoi cette gestion à la petite semaine. D’autant plus que le coût de la dépendance, apparemment estimé à 20 milliards, ne sera pas compensé avec cette deuxième journée, en sachant que la première rapporte 2 milliards, répartis dans un grand flou artistique (du niveau de feu la vignette auto ???). C’est une dizaine de jours qu’il faudrait. Deux semaines de congés.

Pendant ce temps là, les initiateurs de telles idées n’y sont pas assujettis et c’est toujours le bourricot de salarié qui doit s’y coller (professions libérales pour l’instant, c'est aussi exempté !). Et chose magique aux dires de Madame la ministre : « En plus ça ne fait pas baisser le pouvoir d’achat ». Effectivement, à ce niveau, sûr qu’on a touché à la pierre philosophale.
De même le capital lui, qui s’est pourtant sucré sur le dos des p’tits vieux jadis n’a pas à être solidaire. Non, il a juste à être propriétaire de maisons de retraite (ou autre maisons de soins) et faire des bénéfices en facturant à prix d’or des services ne valant sûrement pas le prix de ce dernier.

Bref z’ami, tu l’as compris … de telles inepties ça m’irrite un brin le fondement. Limite ça m’énerverait. Amenez-moi une pique que je leur titille un peu le fondement à défaut d’y accrocher leur tête (qu’un ennuyeux respect de la vie humaine sauvegarde jusqu’à présent), afin que la réalité de leur gestion d’épicier (et sa stupidité) leur apparaisse dans toute son ampleur, tel un miracle.
Sur ce je te laisse z’ami … ça'y'est, ils ont réussi à m'énerver tu ne peux pas t’imaginer … ;-)
Tchô !


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