Comme ça, sans prévenir. Le besoin est remonté, sûrement lointain et bien enfoui au fond.
Dans mes abysses, zones de délices, zones de calices, c’est aléatoire.
Je suis d’un signe d’eau qui s’ignore. Symbolisé par un animal que l’on verrait bien plus associé au feu, aux zones désertiques, je suis pourtant, contrairement à la fable m’opposant à la grenouille, à l’aise dans les environnements liquides. J’éprouve comme une sorte de symbiose aqueuse.
Nous venons d’ailleurs tous d’un milieu aqueux. La matrice maternelle, cette piscine naturelle et personnelle (à moins d’un jumelage) …
Je suis un fils de la mer, et aujourd’hui j’éprouve le besoin d’y retourner. C’est pourquoi demain, hop … j’irais rejoindre une île, où tout est maritime … Aux effluves des embruns, me remémorer des instants intimes, des souvenirs infimes, des moments infirmes qui parfois me servent de racines, afin d’en prendre soins et de les soigner. Les bleus de l’âme s’évadant à loisir dans le bleu de l’océan.
Je suis un fils de la mer, et à ma mer demain, j’irais rendre un hommage hivernal. Dans les gris bleus de l’horizon je lui dirais combien un jour, quand tout s’arrêtera et qu’on m’enfermera sous terre, elle me manquera. J’y emmagasinerais les sels de sa brise, de ses rafales, là, tout au fond de mes poumons. Espérant que cela me suffira jusqu’à notre prochaine rencontre ...
Dans mes abysses, zones de délices, zones de calices, c’est aléatoire.
Je suis d’un signe d’eau qui s’ignore. Symbolisé par un animal que l’on verrait bien plus associé au feu, aux zones désertiques, je suis pourtant, contrairement à la fable m’opposant à la grenouille, à l’aise dans les environnements liquides. J’éprouve comme une sorte de symbiose aqueuse.
Nous venons d’ailleurs tous d’un milieu aqueux. La matrice maternelle, cette piscine naturelle et personnelle (à moins d’un jumelage) …
Je suis un fils de la mer, et aujourd’hui j’éprouve le besoin d’y retourner. C’est pourquoi demain, hop … j’irais rejoindre une île, où tout est maritime … Aux effluves des embruns, me remémorer des instants intimes, des souvenirs infimes, des moments infirmes qui parfois me servent de racines, afin d’en prendre soins et de les soigner. Les bleus de l’âme s’évadant à loisir dans le bleu de l’océan.
Je suis un fils de la mer, et à ma mer demain, j’irais rendre un hommage hivernal. Dans les gris bleus de l’horizon je lui dirais combien un jour, quand tout s’arrêtera et qu’on m’enfermera sous terre, elle me manquera. J’y emmagasinerais les sels de sa brise, de ses rafales, là, tout au fond de mes poumons. Espérant que cela me suffira jusqu’à notre prochaine rencontre ...
4 commentaires:
C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme, tadadeiiiin !
Ben je l'ai vu la mer ... dans tous ses tons gris bleus ...
Mais je n'y ai pas mis le moindre doigt de pied, ..., pas fou le gamin ;-)
N'empêche, en hiver, c'est assez désert, ..., on se sent un brin solitaire à errer le long des plages, sans voir âme qui vive ... A la limite de te prendre pour un Robinson quand tu sais te trouver sur une île ... :-p
Quant à Renaud, aux dernières nouvelles, c'est plus l'alcool qui l'a pris ... Sic ! :-(
Biz au nord ;-)
"La mer c'est désert"
Ah mon Babou, tu es vraiment très fort. :)
A mon corps défendant, bien entendu :-))
Enregistrer un commentaire