Parfois c’est comme ça. Comme ce soir.
Des doutes, des craintes, des peurs. Enfin tu vois l’idée z’ami.
Aux douleurs physiques, se joignent les douleurs mentales. L’esprit souffre des questions sans réponses. Il n’aime pas ça. Oh non, pas du tout !
A chaque pas que je fais pour comprendre le pourquoi du comment de ce que mon être (celui du dedans … que tu ne vois pas, mais qui est là puisque qu’il est toi !!!) fait depuis 4 mois, j’ai l’impression de fermer une porte pour en ouvrir une autre.
Aujourd’hui j’étais de consultation. L’ostéopathie pour ce coup ci. Le médecin ne pense pas que cela soit en rapport avec sa spécialité. La porte qui se ferme.
Pour celle qui s’ouvre, à la vue de mes analyses et des symptômes généraux se développant un peu trop partout sur mon corps à son goût, c'est celle concernant la thyroïde qui semble retenir son attention … Cela pourrait pas mal expliquer nombres de mes symptômes « étranges » … (La neurologue, sans les analyses, avait elle aussi émis l’idée de cette fichue thyroïde, qui pour le coup le serait aussi ;-)) …
Bref demain, je retourne voir les picadors de la veine (pas de veine :-)), histoire d’anticiper les prochaines analyses prévues pour la fin de l’année. Mais juste pour la vile thyroïde. On verra bien. Parce que là, je suis, comment dire, …, dans un petit creux douloureux (parfois … les symptômes se font discrets … puis à d’autres moments, comme actuellement, s’en donnent à cœur joie !)
Bref z’ami, tu l’auras compris, l’inconnu ne m’enchante pas. Cette « méconnaissance » me rend malhabile (fusse un jour où je fus habile ???). Je me fais de la bile alors que je ne suis plus équipé pour. C’est con, non !
Drôle, ce sentiment, de se dire qu’une fois la cause connue, nous irions mieux. Enfin façon de parler.
Sur ce z’ami je te laisse, le Mercantour m’attend ce soir. A plus. Tchô.
Des doutes, des craintes, des peurs. Enfin tu vois l’idée z’ami.
Aux douleurs physiques, se joignent les douleurs mentales. L’esprit souffre des questions sans réponses. Il n’aime pas ça. Oh non, pas du tout !
A chaque pas que je fais pour comprendre le pourquoi du comment de ce que mon être (celui du dedans … que tu ne vois pas, mais qui est là puisque qu’il est toi !!!) fait depuis 4 mois, j’ai l’impression de fermer une porte pour en ouvrir une autre.
Aujourd’hui j’étais de consultation. L’ostéopathie pour ce coup ci. Le médecin ne pense pas que cela soit en rapport avec sa spécialité. La porte qui se ferme.
Pour celle qui s’ouvre, à la vue de mes analyses et des symptômes généraux se développant un peu trop partout sur mon corps à son goût, c'est celle concernant la thyroïde qui semble retenir son attention … Cela pourrait pas mal expliquer nombres de mes symptômes « étranges » … (La neurologue, sans les analyses, avait elle aussi émis l’idée de cette fichue thyroïde, qui pour le coup le serait aussi ;-)) …
Bref demain, je retourne voir les picadors de la veine (pas de veine :-)), histoire d’anticiper les prochaines analyses prévues pour la fin de l’année. Mais juste pour la vile thyroïde. On verra bien. Parce que là, je suis, comment dire, …, dans un petit creux douloureux (parfois … les symptômes se font discrets … puis à d’autres moments, comme actuellement, s’en donnent à cœur joie !)
Bref z’ami, tu l’auras compris, l’inconnu ne m’enchante pas. Cette « méconnaissance » me rend malhabile (fusse un jour où je fus habile ???). Je me fais de la bile alors que je ne suis plus équipé pour. C’est con, non !
Drôle, ce sentiment, de se dire qu’une fois la cause connue, nous irions mieux. Enfin façon de parler.
Sur ce z’ami je te laisse, le Mercantour m’attend ce soir. A plus. Tchô.
4 commentaires:
Le Mercantour?! Wouahhh !!! Comme je t'envie.
(Mais pétard, t'es tout le temps en vacances?!) :)
Tiphaine ... allons ... Ne va pas colporter partout qu'en France nous n'en glandons pas une :-))
Non, je ne suis pas en vacances ... Le Mercantour c'était dans un Téléfilm ("L'homme à l'envers", adaptation d'un roman de Fred Vargas) à la télé (d'où le nom de téléfilm ... si je ne m'abuse ;-))
Cependant je t'excuse, je reconnais que ton "surmenage" (et non "sur-ménage" ... qui est lui l'aval de M. Propre) professionnel doit beaucoup te pousser à penser à des vacances.
Bises à ma n'hollandienne préférée. A +
Euh, sauf erreur de ma part, de la bile, tu peux toujours t'en faire. C'est juste que tu peux plus trop la stocker ;-)
Et j'ai un ami qui vient de subir la même chose que toi. Trois jours d'hosto et le voilà frais comme un gardon :-)
Richard> Bien vu l'artiste ... si je ne faisais plus de bile, je serais dans le caca !
Par contre, au niveau des glandes, ça à l'air de vraiment chier chez moi (bizarre ... tout ce vocabulaire un peu scatophile ... ;-))
Dans l'attente d'un verdict définitif, j'aurais une thyroïdite d'Hashimoto (un truc auto-immune relou de sa race !). Bref de quoi me faire de la bile :-)
Salut mon nouvel ami sans vésicule de ma part, ..., et qu'il se porte bien.
A +
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