Que je te dise z’ami … j’ai un appareil photo qui est résistant … mais sujet à me donner quelques tracas.
Que je t’explique.
Il y a quelques années de cela il avait faillit mourir le long du Guadalquivir (au rouge ???) du coté de Séville avant de sombrer dans ses profondeurs. Enfin je ne sais pas si ce fleuve est réellement profond, vu que je n’ai jamais eu le loisir d’avoir le suprême honneur de me demander si j’allais avoir besoin de la faire, grâce au rebord ultime contre lequel le dit reflex vînt à s’échouer après son vol plané (mais non désiré par votre serviteur).
A cette chance, j’eu le droit au deuxième miracle qui fit qu’il fonctionna encore correctement. Ainsi en dehors d’une vilaine tâche sur mes clichés qui me prit à mon retour un temps fou pour les récupérer et une belle frayeur de perdre quelques centaines d’euros (oui … je suis un vil capitaliste) … j’en fus quitte à un bon nettoyage afin de supprimer l’origine de la tâche.
Cependant, aléatoirement, de temps en temps, la tâche revient.
Lors de mon récent voyage dans le nord, dans le désert (Sic !), elle est revenue la bougresse (et des copines tant qu’on y était). Alors il y a 10 jours, avant de partir pour quelques jours à la frontière des Landes et du pays basque, je lui ai de nouveau nettoyé les trippes. Et apparemment les tâches avaient disparues (sur les quelques tests effectués).
Hélas, Babou est un âne. A peine arrivé dans son lieu de villégiature, le sac contenant ses appareils lui échappa des mains pour aller rencontrer le béton recouvrant le sol … Le bruit fut sourd. Mais âne étant le Babou, ce dernier croyant sûrement son appareil invincible, il ne lui vint même pas à l’idée d’aller zieuter son intégrité physique.
Hélas pour lui, plus tard, lorsqu’il voulu s’en servir et tenta de d’enlever le capuchon recouvrant l’objectif, il constata comme une forme de résistance.
Je vis d’ailleurs (oui j’arrête de me la jouer « Alain Delon raconte … ») tout de suite le pourquoi dès que les premiers morceaux de verres commencèrent à se répandre. Je pâlis (ceci n’indique pas que je n’ai pas lu !!!) à cette vue et prit tout mon temps pour ôter le capuchon. Les débris continuaient de crisser. Ma première pensée fut de me dire que c’était fini pour mon appareil (ou du moins l’objectif) … Avant de finalement reprendre espoir en me disant que j’avais bien fait d’investir dans ce filtre UV. Car après un quart d’heure de nettoyage en essayant de ne pas rayer l’objectif avec les micros débris de verre, force me fut de constater que p’tit pépère semblait s’en être tiré. Il avait perdu son filtre protecteur dans la bataille (note à moi-même : En racheter un rapidement !), mais était bel et bien vivant. Mieux, il n’y avait même pas de tâche (particules de poussière) étant venue se coller sur le miroir. Ah, ah … j’étais soulagé.
Cependant, sans crier gare, quatre jours plus tard, ces fourbasses de tâches apparurent soudainement à partir de mon passage au pays basque (enfin je ne m’en suis aperçu qu’à mon retour). Ce qui fait que ce soir, je vais devoir continuer mon dur labeur afin de rectifier mes clichés souillés.
Et de toi à moi z’ami … ça me saoule. Grave même !
Sur ce tchô et à la prochaine.
PS : Et mon disque dur primaire qu’est en train de me lâcher (saleté de coréen .. ;-)) … t’y crois toi !!!
1 commentaire:
Il est arrivé la même chose environ a mon manager et, lui aussi, c'est son filtre UV qui a pris tout le choc, s'est fissuré, mais a sauvé l'objectif.
Faut que je me procure une de ces protections, ça m'a l'air bien efficace!
Bon courage pour les retouches de taches. Ne te tue pas à la tâche. Ha ha ha !
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