29 août 2011

Ce qui est pourri, finit toujours pas tomber

(Proverbe fruitier)


L’été fut gris.
Noir même pour certains.
Des idées sombres de chutes … boursières essentiellement.

J’ai bien chu personnellement aussi, mais ce ne fut seulement que dans l’océan.
Atlantique de surcroît. Plongeant au gré des envois aléatoires du ballon par une des miennes nièces. C’était plus joyeux, plus vivant, plus humain.

Et si le monde doit continuer lui aussi à choir, qu’il en soit ainsi. De mon côté, je m’en retournerais sur la pointe de Sablanceaux pour y choir encore et encore, essayant stupidement d’attraper ce fichu ballon.

On ne devrait jamais oublier notre âme d’enfant. Jamais.


4 commentaires:

tippie a dit…

J'adore ton proverbe fruitier! Mais moins que ta note. Jolie! :)

Richard a dit…

J'ai cru à une note désabusée. Mais non. Ouf alors ! Le bonheur est dans chacun de nous.

Babou a dit…

Merci Tip ...

Mon bon Richard, j'avoue qu'il y a tout de même une légère amertume sous-jacente (Argh ... on ne se refait pas :-)). Sûrement de voir l'importance que l'on donne à cette crise ... dont je, nous serions responsable, et qui finalement occulterais tant d'autres plaisirs simples de la vie ;-)

Babou a dit…

"Occulterait" ... c'est mieux ! (Sinon, coup de pied au cul, oui !)