On cherche. On tourne et retourne le problème dans tous les sens. On essaie d’en examiner les contours sous toutes les coutures.
Évidemment, à ce jour personne n’en a compris ne serait-ce que l’once du commencement.
La grande énigme, l’ultime compréhension de nos particules et de leurs agitations, plus ou moins frénétiques …
On lui dédie même une fête (hautement consumériste) histoire de faire croire que l’on ne serait pas loin de tutoyer enfin le secret.
Mais nib ouais … que dalle !!!
Personne ne sait le secret.
On dit que dieu, le créateur de toutes choses, l’est. Mais je demanderais à voir en arrivant, si tant est que nous arrivions ailleurs que dans le néant.
En attendant, il y en a qui le chante, le loue, plus ou moins bien …
Alors en attendant …
2 commentaires:
je me fous des "on", ce qui m'intéresse, c'est comment ça se passe pour moi. En suivant ce principe, ce qui devrait /pourrait t'intéresser c'est comment ça se passe chez toi, pour toi. L'amour n'a rien de global, ou alors ce sont les autres qui le disent. L'amour est égoïste quand chacun en parle à la première personne (réflexion digestive, il est 14h53, nous venons d'achever un repas un rien trop copieux, même s'il ne l'était pas vraiment, j'ai l'estomac qui rétrécit)- live long, prosper and from time to time... in love.
Chère amie, je comprends votre position.
Effectivement ne dit-on (encore lui !) que "on" est un con.
Cependant dans ce on, je reconnais qu'il y a beaucoup de "Je", mais aussi un divers degrés d'autres ...
Bref, l'amour quand il s'en vient sur notre chemin, je le concède qu'il en devienne un peu égoïste dans nos mains.
Mais, je ne me referais pas, en ayant un ou pas, je cherche à comprendre ce sentiment. Comment le reconnaître (pour ne pas se tromper ???), le cultiver, le faire croître, l'entretenir et que sais-je d'autre ...
Avec d'autres amis, autour d'un verre, parfois nous essayons de cerner ce phénomène. Et quand bien même le monde scientifique annonce que ce n'est qu'une sombre histoire hormonale ... nous sommes toujours titiller par le sujet (surtout si l'un de nous a eu un coup de pompe de ses hormones l'ayant lâchement abandonné !)
Sur ce Massilimanga, je me souhaite la fin de ton com, tout comme pour toi :-)
Biz (oui je suis un indécrottable être empli de familiarités !)
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