16 août 2010

Quelle est cette veille mise à mon sommeil

J’ai passé une nuit exécrable … (Coucou Marcus)

Non mais vraiment …

Pour commencer, tu le sais sûrement z’ami, j’ai des soucis de santé depuis quelques temps déjà. Ça va, ça vient … sans que l’on sache le pourquoi du comment (et je crains que l’on ne le sache jamais… faudra faire avec !).

Bref, ce W-E j’étais dans du « ça vient » grave sa race. Et hier soir j’étais au paroxysme avec des paresthésies me procurant une sensation de brûlure, d’avoir comme le corps en feu. Tu rajoutes les douleurs dans le dos, le cou, les mains, les jambes, plus l’acouphène … mumh un régal au moment d’aller faire dodo. Enfin, au moment « d’essayer » d’aller faire dodo. Parce que le marchand de sable, le bougre, il avait sûrement perdu mon adresse.

Puis au moment où le commencement d’un début de bâillement (04 H 30 du mat) se faisait sentir, v’la t’y pas qu’un convoi exceptionnel s’en vient en marche arrière, tout bip bip hurlant dans ma rue afin de déposer une n-ième fois une machine de la mort pour refaire un bout de route …

Le temps de re-bailler une deuxième fois (05 H 30) … que hop … je suis réveillé en sursaut par un bruit dans l’immeuble. T’ain … c’n’est pas gagné si en plus je sursaute au moindre bruit. Idem vers 06 H 30 (j’aime bien les demies apparemment …) … pour enfin arriver tout doucement à l’heure de réveil …

Alors autant te dire z’ami … je turbine au café ce matin. J’ai même déposé ma demande de congés pour la semaine prochaine. Même pas peur.
Par contre les paresthésies semblent encore là (sensation de chaud-froid au niveau des membres inférieurs … et on ne rit pas mesdames ;-))) … ça promet pour ce soir.

Euh sinon ben je ne vais pas en faire plus … y’a quand même bien plus grave sur notre bonne vieille terre à l’heure actuelle (bien que mon côté nombriliste m’ai poussé à coucher ces quelques lignes tout de même ;-) … On dira que pour le coup, z’ami, c’était des nouvelles du monde de Babou … Tchô et à la prochaine.

1 commentaire:

Tippie a dit…

Mon bon Baobab (désolée, mais ça me plait!), j'espère bien que "l'on" trouvera un jour (et plutôt vite que tard) la cause de tes soucis. Ca ne devrait pas être permis de souffrir ainsi. :(

Courage et des bises. (Pour ce que ça aide...)