Un sénateur, le sieur Marini (une huile le gazier ???) pour ne point le nommer, a apparemment décrété qu’il fallait, suivant l’expression de notre premier « sinistre » (© Coluche si j’ai bonne mémoire), raboter toutes les niches et avantages fiscaux.
Mumh … bien grande idée …
Celle là c’est vrai on n’y avait pas pensé et on ne nous l’avait jamais faite.
Cette puissance de réflexion de nos édiles me laisse toujours pantois.
Bref … M. Marini, vous me répondrez sûrement (la réponse est d’usage dans votre profession pour noyer le poisson et renvoyer le rustre dans ses 22) que cela n’a rien à voir, mais tes avantages à toi … oui toi Sénateur, rétribué par les deniers publics, et par conséquent une partie des miens, hein quand est t’il ???
Non mais ça m’intéresserait de savoir ton imposition, ton pourcentage de charges sécurité sociale, retraite … Le coût des voitures, appartements, repas (la cantine du palais du Luxembourg est réputée être d’un rapport qualité/prix imbattable dans le monde du luxe me suis-je laissé dire) et autres, mis à moindres frais à ta disposition.
Non parce que comme ça … je me disais est-ce que j’ai l’air d’un con.
Ai-je la tête d’un type qui ne sait pas que suivant le bon dicton populaire (« Charité bien ordonné, commence par soi même ») … tu devrais balayer devant ta porte avant de penser à venir nettoyer devant la mienne … les nôtres (si tant est que je bénéficie d’un de ces fameux avantages fiscaux … (Argh si … j’ai un CODEVI livret de développement durable !!!)).
Bref … sieur de mes … (enfin on se comprend !!!), je vais faire le gentil veau qui n’a rien entendu, et je vais faire semblant d’attendre que tu demandes l’abrogation de tous les passes droits, avantages, privilèges liés à ta fonction faisant subir une pression non négligeable aux dépenses publiques.
Tu m’auras compris, ne t’avise pas de revenir toquer à ma porte avant d’avoir fait ces quelques économies, sinon mon courroux pourrait bien devenir fort désagréable à ta toute quiétude et au confort de ton siège rembourré au sénat.
Sur ce tu comprendras que j’en appelle à ton devoir de tribun et ne te saluerai pas tant que tu ne t’y adonneras pas comme tu le dois.
Quant à toi z’ami … je te salue bien bas, car tu le mérites au bas mot 1000 fois plus que le sieur sus nommé. Allez tchô et à la prochaine.
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