Hum … il y a deux jours … bizarrement … j’ai retrouvé mon écran de PC … noir. Mais totalement noir hein … J’ai cru qu’il n’y avait plus d’espoir même … pour te dire z’ami comme je le sentais mal.
Bref … je trifouille les fils derrière cet abruti d’écran … et là … direct il se met à flashouiller comme un sagouin pendant 30 secondes. Moi aussi direct que lui, je flippe … vu ma totale non maîtrise de la loose … Puis, comme par un malin enchantement, il se remet en route.
Bon … je me dis gulp … il fait chaud en ce moment … pépère il s’est fait un coup de calgon … Voilà c’que je m’dis ! (en direct de chez m’sieur Coué …).
C’est fini … n’en parlons plus.
Hier … je rentre de ma dure journée de labeur (après un détour chez M’sieur UGC … histoire de répondre à son invitation rapport à une momie … troisième du nom …), je m’enfile deux, trois bâtonnets de Surimi (au crabe … j’aime le luxe … hi, hi, hi …) … et hop j’allume l’ordi … histoire de prendre connaissance de mes mèls du jour … et de toutes ces femmes impatientes que je vienne m’occuper leur cruelle solitude … notamment affective …
Et là … c’est le drame. Walou. Nada. Queue de chique. De la merde en barre. Ce satané écran … reste impitoyablement (Clint Eastwood a intérêt à bien se tenir …) noir.
Je me remets à titiller les fils … et hop … ça reflashouille sa race … Mais ça ne repart pas. Ça pue les contacts pourris … tout pourris même. Et je titille … et je titille. J’ai l’impression que ça sent le chaud. Mais je continue à titiller le bordel.
Finalement, ça redémarre … l’image de bureau apparaît. Ouf.
Je relève mes mèl, …, je réponds aux chaudasses … que non désolé … mais là ça ne va pas le faire … je pars en vacances en fin de semaine … mais on reste en contact … et on verra à mon retour.
Je m’allonge ensuite, avec mon casque sur les oreilles … quand … mon écran replonge la pièce dans la pénombre. Là … je crois qu’il n’est nul besoin de te préciser z’ami que mes « Lucioles » sont au-delà du stade de la « brisitude » menue !
C’est décidé … je re-trifouille ces satanés câbles … ça flash de partout … une véritable tempête s’abat dans la pièce. J’n’ai vraiment pas confiance dans mon écran. Et pendant que je malmène ces satanés fils, je décide de divorcer. Je ne vais pas passer ma vie à tripatouiller ces putains de câbles. J’annonce alors solennellement à mon écran que c’est fini. Voilà. Je lui promets de prendre soin de lui … de tenter l’opération de la dernière chance afin qu’il puisse obtenir une seconde chance dans un autre foyer … mais avec moi c’est fini.
Et ce soir … je me suis fiancé. Je viens de ramener la bête à la maison. Et tout juste de le raccorder au PC. Tu peux pas savoir z’ami … comme c’est reposant … que du premier coup ça reparte (et pas comme en quarante …) …
M’enfin … voilà … je touche du bois pour que la foudre ne s’abatte plus par chez moi. Pas que je craigne les orages … cette soit disante colère divine … mais quand c’est loin de chez toi … ben c’est mieux.
Sur ce z’ami … je te laisse … p’t’être encore un ou deux réglages à voir … mais j’ai bon espoir. Allez tchussss.
Bref … je trifouille les fils derrière cet abruti d’écran … et là … direct il se met à flashouiller comme un sagouin pendant 30 secondes. Moi aussi direct que lui, je flippe … vu ma totale non maîtrise de la loose … Puis, comme par un malin enchantement, il se remet en route.
Bon … je me dis gulp … il fait chaud en ce moment … pépère il s’est fait un coup de calgon … Voilà c’que je m’dis ! (en direct de chez m’sieur Coué …).
C’est fini … n’en parlons plus.
Hier … je rentre de ma dure journée de labeur (après un détour chez M’sieur UGC … histoire de répondre à son invitation rapport à une momie … troisième du nom …), je m’enfile deux, trois bâtonnets de Surimi (au crabe … j’aime le luxe … hi, hi, hi …) … et hop j’allume l’ordi … histoire de prendre connaissance de mes mèls du jour … et de toutes ces femmes impatientes que je vienne m’occuper leur cruelle solitude … notamment affective …
Et là … c’est le drame. Walou. Nada. Queue de chique. De la merde en barre. Ce satané écran … reste impitoyablement (Clint Eastwood a intérêt à bien se tenir …) noir.
Je me remets à titiller les fils … et hop … ça reflashouille sa race … Mais ça ne repart pas. Ça pue les contacts pourris … tout pourris même. Et je titille … et je titille. J’ai l’impression que ça sent le chaud. Mais je continue à titiller le bordel.
Finalement, ça redémarre … l’image de bureau apparaît. Ouf.
Je relève mes mèl, …, je réponds aux chaudasses … que non désolé … mais là ça ne va pas le faire … je pars en vacances en fin de semaine … mais on reste en contact … et on verra à mon retour.
Je m’allonge ensuite, avec mon casque sur les oreilles … quand … mon écran replonge la pièce dans la pénombre. Là … je crois qu’il n’est nul besoin de te préciser z’ami que mes « Lucioles » sont au-delà du stade de la « brisitude » menue !
C’est décidé … je re-trifouille ces satanés câbles … ça flash de partout … une véritable tempête s’abat dans la pièce. J’n’ai vraiment pas confiance dans mon écran. Et pendant que je malmène ces satanés fils, je décide de divorcer. Je ne vais pas passer ma vie à tripatouiller ces putains de câbles. J’annonce alors solennellement à mon écran que c’est fini. Voilà. Je lui promets de prendre soin de lui … de tenter l’opération de la dernière chance afin qu’il puisse obtenir une seconde chance dans un autre foyer … mais avec moi c’est fini.
Et ce soir … je me suis fiancé. Je viens de ramener la bête à la maison. Et tout juste de le raccorder au PC. Tu peux pas savoir z’ami … comme c’est reposant … que du premier coup ça reparte (et pas comme en quarante …) …
M’enfin … voilà … je touche du bois pour que la foudre ne s’abatte plus par chez moi. Pas que je craigne les orages … cette soit disante colère divine … mais quand c’est loin de chez toi … ben c’est mieux.
Sur ce z’ami … je te laisse … p’t’être encore un ou deux réglages à voir … mais j’ai bon espoir. Allez tchussss.
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Onde du moment : Queen - Flash Gordon
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