En ce moment, je trouve que j’écris moins par ici.
Que ce que j’y écris est nettement moins bien qu’avant. Et « Avant » c’était quand ???
Je ne le sais pas vraiment. Et puis y’a-t-il au moins eu des trucs de bien, de potables … va savoir Raymond … hein … Raymonde … ah … de dos je n’aurais pas dis … mais là ok … va pour Raymonde …
Qu’est-ce que je disais … ah oui … potable.
Tout comme l’eau potable qui parait t’il s’amenuise jours après jours sur notre petite planète, les billets (notes … enfin ce que tu veux z’ami) qui parfois viennent s’afficher sur mon petit monde deviennent au fil du temps imbuvables. Enfin, c’est la sensation que j’en ai.
J’ai parfois du mal à les écrire (je déteste réfléchir sur ce que j’écris ici, ça doit être de l’instantané, de la réaction immédiate), et je me rend compte que je commence à tourner en rond.
Par exemple, dire du mal de p’tit Nico, outre que ça devient répétitif à la longue, est une chose assez simple. Il fait et dit tellement de conneries (tout et son contraire, quand ça n’en devient tout simplement pas ridicule …) que c’est à la portée de n’importe quel crétin (j’en suis la preuve, non !!!). Ce genre d’individu ne pourra jamais rien représenter à mes yeux. Faire de la politique en croyant que l’on va servir les gens pourrait bien obtenir de la considération de ma part … mais faire de la politique juste dans son propre intérêt … enfin tu vois le genre z’ami.
Bref … le doute m’habite (pas de mauvais jeu de mot s’il te plaît :-)))). La morosité finalement gagne petit à petit du terrain. La situation qui nous entoure, qui nous accompagne tous les jours n’est pas folichonne. Elle vient jusqu’à polluer notre moral. Enfin … dans mon cas.
De plus je n’ai pas rechargé les batteries cet été. Je suis bien parti une semaine fort agréable au soleil fin Juin mais l’hospitalisation surprise juste au retour a tout bouffé. Ensuite la morosité climatique s’ajoutant … je crains de manquer d’énergie à l’hiver approchant (oui … je sens que l’automne va bientôt devoir être intégré à l’hiver … l’été l’étant déjà …). Le soleil, y’a pas à dire … c’est super important dans le cycle annuel. La nature à besoin du froid pour que la terre se repose, se régénère … mais elle a besoin du soleil juste pour s’exprimer ensuite. Là, si le soleil vient à me manquer … je vais aller au devant de problèmes … euh … conceptuels ;-)).
Rend toi compte z’ami … je ne suis pas parti à la Réunion cette année. Si ce n’est pas malheureux ça. Pauvre de moi.
Enfin, trêve de plaisanteries, en ce moment … le moral est au rez-de-chaussée. Et je suis généreux (pas mon habitude …). P’t’être que le fait d’être malade depuis 5 jours, d’avoir été cloîtré au lit tout le W-E n’a pas aidé à la distanciation, à la pondération que j’aurais du avoir, mais que veux tu … moi j’ai toujours versé dans le verre à moitié vide.
Bref … vivement que je me requinque, que deux trois bonnes nouvelles s’enchaînent (comme un bon canard !) et qu’un élan (pas l’animal, hein !!!) nouveau, aussi minime soit t’il, s’empare de moi. Après, cette note fera partie du passé, du tas des mauvaises notes publiées. Et dieu (c’est juste pour l’expression) sait que j’en ai commis des pitoyables.
Alors sur ceux z’ami, je vais aller me manger un p’tit bout de pain et vite retrouver le chaud de ma couette … faudrait voir à ne pas déconner … demain faut que j’aille donner de mon temps au grand capital. Allez tchuussss et à la prochaine … ou pas !
Que ce que j’y écris est nettement moins bien qu’avant. Et « Avant » c’était quand ???
Je ne le sais pas vraiment. Et puis y’a-t-il au moins eu des trucs de bien, de potables … va savoir Raymond … hein … Raymonde … ah … de dos je n’aurais pas dis … mais là ok … va pour Raymonde …
Qu’est-ce que je disais … ah oui … potable.
Tout comme l’eau potable qui parait t’il s’amenuise jours après jours sur notre petite planète, les billets (notes … enfin ce que tu veux z’ami) qui parfois viennent s’afficher sur mon petit monde deviennent au fil du temps imbuvables. Enfin, c’est la sensation que j’en ai.
J’ai parfois du mal à les écrire (je déteste réfléchir sur ce que j’écris ici, ça doit être de l’instantané, de la réaction immédiate), et je me rend compte que je commence à tourner en rond.
Par exemple, dire du mal de p’tit Nico, outre que ça devient répétitif à la longue, est une chose assez simple. Il fait et dit tellement de conneries (tout et son contraire, quand ça n’en devient tout simplement pas ridicule …) que c’est à la portée de n’importe quel crétin (j’en suis la preuve, non !!!). Ce genre d’individu ne pourra jamais rien représenter à mes yeux. Faire de la politique en croyant que l’on va servir les gens pourrait bien obtenir de la considération de ma part … mais faire de la politique juste dans son propre intérêt … enfin tu vois le genre z’ami.
Bref … le doute m’habite (pas de mauvais jeu de mot s’il te plaît :-)))). La morosité finalement gagne petit à petit du terrain. La situation qui nous entoure, qui nous accompagne tous les jours n’est pas folichonne. Elle vient jusqu’à polluer notre moral. Enfin … dans mon cas.
De plus je n’ai pas rechargé les batteries cet été. Je suis bien parti une semaine fort agréable au soleil fin Juin mais l’hospitalisation surprise juste au retour a tout bouffé. Ensuite la morosité climatique s’ajoutant … je crains de manquer d’énergie à l’hiver approchant (oui … je sens que l’automne va bientôt devoir être intégré à l’hiver … l’été l’étant déjà …). Le soleil, y’a pas à dire … c’est super important dans le cycle annuel. La nature à besoin du froid pour que la terre se repose, se régénère … mais elle a besoin du soleil juste pour s’exprimer ensuite. Là, si le soleil vient à me manquer … je vais aller au devant de problèmes … euh … conceptuels ;-)).
Rend toi compte z’ami … je ne suis pas parti à la Réunion cette année. Si ce n’est pas malheureux ça. Pauvre de moi.
Enfin, trêve de plaisanteries, en ce moment … le moral est au rez-de-chaussée. Et je suis généreux (pas mon habitude …). P’t’être que le fait d’être malade depuis 5 jours, d’avoir été cloîtré au lit tout le W-E n’a pas aidé à la distanciation, à la pondération que j’aurais du avoir, mais que veux tu … moi j’ai toujours versé dans le verre à moitié vide.
Bref … vivement que je me requinque, que deux trois bonnes nouvelles s’enchaînent (comme un bon canard !) et qu’un élan (pas l’animal, hein !!!) nouveau, aussi minime soit t’il, s’empare de moi. Après, cette note fera partie du passé, du tas des mauvaises notes publiées. Et dieu (c’est juste pour l’expression) sait que j’en ai commis des pitoyables.
Alors sur ceux z’ami, je vais aller me manger un p’tit bout de pain et vite retrouver le chaud de ma couette … faudrait voir à ne pas déconner … demain faut que j’aille donner de mon temps au grand capital. Allez tchuussss et à la prochaine … ou pas !
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