Hum ... [Lire l'article ici ...]
En dehors du crime, odieux, horrible, abjecte, …, ou tout autre adjectif que vous souhaitez, il faut bien voir dans cette réaction d’employés sûrement considérés comme une quantité négligeable et anecdotique, une réponse à la violence du monde du travail actuel.
Si des avancées sur la protection salariale avaient été faites durant le 20 ième siècle, on se retrouve aujourd’hui en marche arrière toute. Encore plus dans des pays n’ayant quasiment jamais connu ce concept de « protection salariale ».
Pas sûr qu’au rythme ou la vie des salariés se dégradent (et du peu d’importance que ces vies ont aux yeux de ceux détenant le(s) pouvoir(s) [Economique et/ou politique …]), cette horreur ne puisse un jour se produire sous nos latitudes. Hélas.
Je sais, je vois toujours le verre à moitié vide, mais à ce jour, ça fait belle lurette que les signaux rouges ont été dépassés.
Sur ce z’ami, le grand capital requérant mes maigres compétences (mais les requérant tout de même … va pas travailler à ma place non plus ;-))) je te laisse … En passant, je dois bien l’avouer, je ne suis pas à plaindre (ce qui n’empêche pas de voir ce qui se passe ici et ailleurs …) … De plus ma subsistance quotidienne m’y oblige aussi … comme tout un chacun …
Allez je radote … tcho.
En dehors du crime, odieux, horrible, abjecte, …, ou tout autre adjectif que vous souhaitez, il faut bien voir dans cette réaction d’employés sûrement considérés comme une quantité négligeable et anecdotique, une réponse à la violence du monde du travail actuel.
Si des avancées sur la protection salariale avaient été faites durant le 20 ième siècle, on se retrouve aujourd’hui en marche arrière toute. Encore plus dans des pays n’ayant quasiment jamais connu ce concept de « protection salariale ».
Pas sûr qu’au rythme ou la vie des salariés se dégradent (et du peu d’importance que ces vies ont aux yeux de ceux détenant le(s) pouvoir(s) [Economique et/ou politique …]), cette horreur ne puisse un jour se produire sous nos latitudes. Hélas.
Je sais, je vois toujours le verre à moitié vide, mais à ce jour, ça fait belle lurette que les signaux rouges ont été dépassés.
Sur ce z’ami, le grand capital requérant mes maigres compétences (mais les requérant tout de même … va pas travailler à ma place non plus ;-))) je te laisse … En passant, je dois bien l’avouer, je ne suis pas à plaindre (ce qui n’empêche pas de voir ce qui se passe ici et ailleurs …) … De plus ma subsistance quotidienne m’y oblige aussi … comme tout un chacun …
Allez je radote … tcho.
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