23 février 2009

Chut, tais-toi !

Philippe Lucas, dit le Rahan des piscines, est en guerre contre le Canet en Roussillon. Ces derniers le lui rendent bien, puisqu’ils viennent de le licencier (bienvenue au club l’ami !).

C’est bizarre ça, le fan de Johnny déclare qu’il n’est pas payé, et hop … faute grave pour non respect du devoir de réserve.
Ben merde, c’est quoi ce nouveau concept. Je ne te paye pas, …, tu râles, tu le dis à quelqu’un … et hop … faute grave … au nom du devoir de réserve.
Ben … les mauvais payeurs ont de beaux jours devant eux avec ce genre de construction de l’esprit … humain (?).

Bon, avouons, je ne suis pas dans le secret des dieux. Je ne sais pas où est la vérité dans tout ça, mais la réaction de l’office du tourisme du Canet (qui au passage c’est fait une pub grave (elle aussi) à pas très cher avec la venue de casque d’or …) me semble … comment dire … suspecte … pas franche du collier.
« Devoir de réserve » ???
Comme si dans un monde libéral à outrance, où le « patronat » ne s’oppose aucun droit de réserve pour se séparer de personnel, au nom d’une maximalisation du profit à outrance alors que les profits sont là, l’employé, lui, devrait respect et allégeance éternels à la main nourricière. Et puis quoi encore. La main n’a jamais été nourricière. Le travail fourni oui.

Bref z’ami … laver son linge sale en famille … ça ne marche qu’en famille. Et dans une très … très, …, très grande majorité, nos employeurs … n’ont pas le statut de membre familial.

M’enfin je ne m’inquiète pas outre mesure pour M. Lucas. C’était juste histoire de faire mon râleur (Tip’ … tu vois que je suis encore là … et je souris encore …) et de piquer ce fameux droit de réserve qui me fait parfois bien … rire … sourire (encore !!!). Jaune.

Sur ce z’ami, je te laisse pour l’instant … j’ai un compte rendu d’audience à convertir en PDF. Alors à la prochaine. Tchô.

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