Par delà les nuages naissaient mes rêves. Par delà mes désespoirs ils étaient là. Clairs et envoûtants.
Les promesses d’une vie meilleure, de cieux plus propices à mon épanouissement. Oui, tout ça c’était dans mes rêves. Et bien plus encore.
Cependant il y avait un hic. Non pas que ce ne soit que des rêves. Mais nous étions en août, et par un curieux sens ironique du destin, il y avait chaque jour de nouveaux nuages, pour chasser au loin tous mes rêves.
Quel temps de merde !
Sur ce je vais me pieuter … d’une il y fait meilleur … et de deux, p’t’être que j’aurais un doux rêve. Tu sais z’ami, par delà les nuages, etc.
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