Dans le cadre d’un label des spectateurs, je suis allé voir jeudi dernier le film « Goodbye Bafana ». Ce qu’il y a de bien avec ce genre de projection, c’est qu’on y va en aveugle. Tu ne connais pas le genre, ni le titre du film. Donc, pas d’à priori. (Notons que même pour une projection test, où tu viens noter un film, tu te tapes quand mêmes des bandes annonces et des réclames. Je trouve ça curieux !).
Dès le générique j’ai su que cela n’allait pas être la comédie de l’année. On était plutôt du côté opposé. Genre ambiance dramatique. Et quand tu vois s’inscrire « South Africa 1968 », avec la vision d’un quai de port, où des noirs se font latter à coups de matraques pour monter dans un bateau, tu es sûr à 100% que pas à un seul moment tu ne vas rire.
C’est donc avec une petite appréhension que je me laisse glisser dans mon siège en me disant « ‘tain … ça m’a pas l’air tip top … niveau remontage de moral » (j’avoue … c’était pas la grande joie ce soir là … mais nous n’entrerons pas dans les détails … faut voir à pas déconner … et on n’est pas là pour ça.).
Cependant, l’air de rien, le film m’est devenu agréable à suivre. D’une par l’histoire dont traite le film. La relation entre un gardien de prison et du prisonnier le plus célèbre d’Afrique du Sud, Nelson Mandela.
De deux, par l’angle que prend le scénario pour nous la conter. Car au travers de cette relation (scénario basé sur un livre et une histoire soit disant vraie … quoiqu’il existe, semble t’il, une remise en question quant à la véracité de la relation … du moins d’après le peu que j’ai pu lire sur la toile, notamment sur wikipedia … mais en version anglaise), qui me semble quand même fortement romancée (encore plus si l’histoire de base est belle et bien fausse), le film suit l’évolution de l’Afrique du sud et de ses mentalités. Notamment avec la vie de la famille du gardien, fortement pro apartheid au début (c’est dieu qui veut ça, un noir ne vaudra jamais un blanc, etc.) et qui à la fin, le sera beaucoup moins (voire plus du tout … mais chuttt …faut pas le dire !).
C’est un tantinet un bol de « trop » bonnes pensées (pas de réel méchant … je n’ai pas réussit réellement à savoir le jugement que pouvait porter le réalisateur ... juste que, c’est sûr, il n’était pas pro apartheid … faut pas déconner non plus …) … mais j’ai tout de même passé un excellent moment, en apprenant pas mal de choses sur l’apartheid, que finalement je ne connais pas très bien (A part c’est vilain caca tout plein, pas bien du tout !!!).
En conclusion, un film qu’il faudra peut être aller voir (à partir du 11 Avril), histoire d’en apprendre un petit peu sur une page plutôt sombre de notre humanité.
Dès le générique j’ai su que cela n’allait pas être la comédie de l’année. On était plutôt du côté opposé. Genre ambiance dramatique. Et quand tu vois s’inscrire « South Africa 1968 », avec la vision d’un quai de port, où des noirs se font latter à coups de matraques pour monter dans un bateau, tu es sûr à 100% que pas à un seul moment tu ne vas rire.
C’est donc avec une petite appréhension que je me laisse glisser dans mon siège en me disant « ‘tain … ça m’a pas l’air tip top … niveau remontage de moral » (j’avoue … c’était pas la grande joie ce soir là … mais nous n’entrerons pas dans les détails … faut voir à pas déconner … et on n’est pas là pour ça.).
Cependant, l’air de rien, le film m’est devenu agréable à suivre. D’une par l’histoire dont traite le film. La relation entre un gardien de prison et du prisonnier le plus célèbre d’Afrique du Sud, Nelson Mandela.
De deux, par l’angle que prend le scénario pour nous la conter. Car au travers de cette relation (scénario basé sur un livre et une histoire soit disant vraie … quoiqu’il existe, semble t’il, une remise en question quant à la véracité de la relation … du moins d’après le peu que j’ai pu lire sur la toile, notamment sur wikipedia … mais en version anglaise), qui me semble quand même fortement romancée (encore plus si l’histoire de base est belle et bien fausse), le film suit l’évolution de l’Afrique du sud et de ses mentalités. Notamment avec la vie de la famille du gardien, fortement pro apartheid au début (c’est dieu qui veut ça, un noir ne vaudra jamais un blanc, etc.) et qui à la fin, le sera beaucoup moins (voire plus du tout … mais chuttt …faut pas le dire !).
C’est un tantinet un bol de « trop » bonnes pensées (pas de réel méchant … je n’ai pas réussit réellement à savoir le jugement que pouvait porter le réalisateur ... juste que, c’est sûr, il n’était pas pro apartheid … faut pas déconner non plus …) … mais j’ai tout de même passé un excellent moment, en apprenant pas mal de choses sur l’apartheid, que finalement je ne connais pas très bien (A part c’est vilain caca tout plein, pas bien du tout !!!).
En conclusion, un film qu’il faudra peut être aller voir (à partir du 11 Avril), histoire d’en apprendre un petit peu sur une page plutôt sombre de notre humanité.
1 commentaire:
superbe film et en effet bien que legerement rommencee l histoire est authentique. De plus le generique de fin est magifique
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