Y’a un truc sidérant (parmi d’autres … je l’avoue) dans les transports en commun depuis l’apparition des « gratuits », c’est l’irrespect des gens envers la propreté. Déjà les rames de métro et RER ne sont pas ce qui se fait de plus propres. Mais là, c’est la foire à la dégueulasserie. Et vas-y que je laisse mon journal traîner sur la banquette. Que ça me foulerait l’anus de le prendre et de le mettre à la première poubelle (surtout que ce n’est pas ce qui manque … je fais rarement plus de 15 mètres pour en trouver une). Je ne crois pas que ces gros dégueulasses laisseraient traîner tout cela chez eux. Je ne pense pas qu’ils mettraient leurs pieds sur leur canapé comme ils le font sur les banquettes leurs faisant face, ces dernières faisant office de repose pied … super propre et totalement irrespectueux vis-à-vis des autres usagers.
Ça me rappelle aussi un problème sur les emballages alimentaires. Un truc sur lequel je suis un peu sensibilisé (rapport à mon employeur). Notamment lors de ventes à emporter. On en retrouve partout sur les voies publiques. Outre l’aspect pour l’image de l’entreprise, ça amène à réfléchir sur le niveau de civisme, notamment des jeunes (Pour le cas en rapport avec mon employeur). Problème d’éducation, d’inattention de notre société. On n’ose plus rien dire, face à certaines réactions violentes de la part de quelques individus. Et le reste en profite.
Par exemple, le matin, sur le quai d’une gare que je fréquente, à ciel ouvert, il y a un abri couvert. Interdiction formelle d’y fumer. Cependant dedans se sont toujours les cinq même « branleurs » qui clopent cigarettes sur cigarettes. Le reste, attend dehors, au vent. J’aurais pensé que l’inverse aurait été plus judicieux. Eux non. Par lâcheté sûrement, je ne dis mot. Personne ne dit mot. Et puis les soient disant contrôles sévères concernant l’application de la loi sur l’interdiction de fumer dans le cas présent, j’en ai pas encore vu un seul.
Ça promet lorsque les bars et autres devront l’appliquer à partir de 2008.
Bref, là où il y a quelques années je me serais fait reprendre par le moindre passant, le mutisme est de rigueur. Et j’avoue que même si l’on préfère la tranquillité à la prise de bec, je pense que cela n’explique pas en totalité la passivité ambiante de notre société face aux petits incivismes quotidiens.
Et puis à la relecture de ce que je viens d’écrire, j’hésite à me traiter de vieux con. D’intolérant. D’ayatollah en pleine guerre contre les libertés. L’inaction de mon environnement me pousse à me dire que c’est moi qui ne suis pas normal. Que je ne suis pas dans le juste ton.
Mais j’arrive pas vraiment à m’en convaincre !
Sur ce z’ami je te laisse, …, j’ai une gorge, un nez, des oreilles à rendre un peu plus « péchues ». Tchuss et à plus.
Ça me rappelle aussi un problème sur les emballages alimentaires. Un truc sur lequel je suis un peu sensibilisé (rapport à mon employeur). Notamment lors de ventes à emporter. On en retrouve partout sur les voies publiques. Outre l’aspect pour l’image de l’entreprise, ça amène à réfléchir sur le niveau de civisme, notamment des jeunes (Pour le cas en rapport avec mon employeur). Problème d’éducation, d’inattention de notre société. On n’ose plus rien dire, face à certaines réactions violentes de la part de quelques individus. Et le reste en profite.
Par exemple, le matin, sur le quai d’une gare que je fréquente, à ciel ouvert, il y a un abri couvert. Interdiction formelle d’y fumer. Cependant dedans se sont toujours les cinq même « branleurs » qui clopent cigarettes sur cigarettes. Le reste, attend dehors, au vent. J’aurais pensé que l’inverse aurait été plus judicieux. Eux non. Par lâcheté sûrement, je ne dis mot. Personne ne dit mot. Et puis les soient disant contrôles sévères concernant l’application de la loi sur l’interdiction de fumer dans le cas présent, j’en ai pas encore vu un seul.
Ça promet lorsque les bars et autres devront l’appliquer à partir de 2008.
Bref, là où il y a quelques années je me serais fait reprendre par le moindre passant, le mutisme est de rigueur. Et j’avoue que même si l’on préfère la tranquillité à la prise de bec, je pense que cela n’explique pas en totalité la passivité ambiante de notre société face aux petits incivismes quotidiens.
Et puis à la relecture de ce que je viens d’écrire, j’hésite à me traiter de vieux con. D’intolérant. D’ayatollah en pleine guerre contre les libertés. L’inaction de mon environnement me pousse à me dire que c’est moi qui ne suis pas normal. Que je ne suis pas dans le juste ton.
Mais j’arrive pas vraiment à m’en convaincre !
Sur ce z’ami je te laisse, …, j’ai une gorge, un nez, des oreilles à rendre un peu plus « péchues ». Tchuss et à plus.
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