18 mars 2007

Laisser le temps ...

‘Tain … c’t’envie de rien foutre que je me traîne aujourd’hui …
A part m’énerver comme un abruti (Ô zut, cruelle réalité, je le suis vraiment …) contre des fichiers de 0 Ko qui ne veulent plus se barrer de mon ch’ti PC (j’ai réussit à en faire partir quelques uns, environ 70%, avec un « chkdsk » qui a trouvé des liens suite à des copies de fichiers (mais ça je la savais déjà … car malgré une taille physique de 0 Ko, les fichiers résistants annonçaient des tailles correspondantes pile poil à des fichiers existants alors dans le même répertoire.) que je sais pas comment elles ont été demandées. Je soupçonne un antivirus de merde d’être le coupable lors de sa désinstallation …). Et ça me gonfle.

Pour l’instant j’ai abandonné le combat. Internet ne semblant pas avoir la solution. Moi qui suis un navet niveau informatique, quand je vois certaines solutions proposées … j’ai peur pour ceux qui tenterons de les appliquer.

Donc … arrivant à un sommet d’énervitude (toute intérieure … pour le coup) j’ai abandonné le répertoire dit de « la vérole » suprême à son sort végétatif. Peut être un jour, la lumière céleste délivrera l’oracle de son oraison finale.

Bref, maintenant j’ai un fer 9 (au moins) qui me pousse dans la main et me pousse à ne rien faire. Mais alors rien. Juste envie de me bran### les lucioles … enfin, z’ami tu vois de quoi je veux parler. (et ne pas prendre l’image sus citée au 1er degré. Bien prendre … enfin on se comprend :-)))))

Je crois même que je vais me montrer anti écolo total. Je vais p’t’être me faire un bon bain. Ouais, j’suis carrément ouf. Je sais.
M’enfin quand je vois qu’on ressasse à la populace que prendre un bain c’est mal (une douche c’est mieux …) et que dans le même temps on ouvre de plus en plus de spa et autres complexes du même acabit qui défient toutes tentatives de responsabilisation écologiques … je me dis que pour le gars Hulot, c’est pas gagné.

Enfin pour conclure, j’ai – 2 en volonté. Mais qu’on se rassure, ça va revenir.

Après un bon bain !
Quoique, si ça revient que demain … j’s’rais pas malheureux.
Sur ce z’ami, je te laisse … j’entend l’appel de l’eau … du « prélassement » … du néant, du laisser le temps qui court (spéciale dédicace de la honte). A +.

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