24 janvier 2009

J'casse la baraque

A l’instar d’Obama … moi aussi je peux …

Oui moi aussi je peux opter pour le changement.
Alors fini l’ancien décor pour le WoB, place au thème « Morning ». Parce que j’ai bien aimé ce coq … cet emblème du français râleur (que je ne suis pas … rassure-moi z’ami) dont le regretté Coluche nous assurait qu’il fût le meilleur possible vu sa capacité à continuer de chanter … même les pieds dans la merde.

Mais tu l’auras remarqué z’ami, ici rien de tel. Il est fier sur son piédestal, le regard portant loin, à l’image de la vigie séculaire. Il regarde et espère un jour nouveau, emprunt de la chaleur du monde que ce soleil levant lui promet.

Bref … moi aussi « I can ». Non mais !
Et puis c’est chez moi … j’y fais a peu près ce que je veux par définition, non !

Enfin … pour revenir au titre, je casse la baraque … oui … mais je la reconstruis … car il faut bien qu’elle soit agréable pour te recevoir toi, cher z’ami … si précieux (le premier qui me traite de vil flagorneur … je l’étripe …).
Voilà … sois le bienvenue dans ma nouvelle « maison, douce maison ». A la prochaine. Tchô.


PS. : Il reste quelques trucs à arranger (notamment ce fond vert qui claque dans le « who’s moi » … mais je ne sais pas toujours d’où il vient le bougre …) … on va finir par y arriver ;-))

2 commentaires:

Anonyme a dit…

tu serais pas un vil flagorneur, par hasard?

Commentaire purement provocateur... En vérité, je ne suis plus trop dure de la definition exacte de Flagorneur (mais ca ressemble un peu a frimeur qui se la pete et adore son pays, non? Huhu :op )

Anonyme a dit…

* FLAGORNEUR, EUSE, subst. et adj.

I.− Subst. et adj. (Personne) qui flatte bassement quelqu'un, qui a pour habitude de flagorner. On a vu Rouland, l'ancien ministre de la justice et des cultes, (...) jouer le rôle d'un impresario grotesque et flagorneur, faisant le polichinelle avec un zèle et un flot de bas comique (Goncourt, Journal, 1866, p. 306). J'aperçus une dame blonde au milieu d'un cercle de stupides flagorneurs (Milosz, Amour. initiation, 1910, p. 50). Elle est aussi flagorneuse que lui et aussi embêtante (Proust, Guermantes 1, 1920, p. 203).

Fallait demander, quoi !!

:-))

Bises