18 mai 2008

Réminiscence Nimbusienne

Nimbus Ier est toujours roi de pacotille en son royaume.
Il le tient dans le creux de sa main. Une main droite un peu gauche d’ailleurs.

Depuis sa prise de pouvoir du royaume dont il a acheté une partie, Nimbus Ier ne se sent plus pisser. On appelle ça la confiance (oui … comme les couches pour senior) … la confiance aveugle en soi. Et étonnamment a priori, en soi, cela est plutôt vrai.
Mais là, la confiance est basée sur un rapport qui est virtuel. Le pouvoir de la hiérarchie que donne l’argent et une certaine bassesse d’esprit. Mais en dehors de cela, Nimbus Ier n’est qu’un être méprisable, petit et vil. Il semble qu’il n’y ai vraiment rien à tirer de réellement bon de lui.

J’ai quitté le royaume de Nimbus Ier il y a plus de trois ans. Je n’en ai plus beaucoup de nouvelles, et le peu qui m’arrivent me laisse de plus en plus indifférent.
Que les fidèles gueux de son altesse Nimbus Ier souffre ou pas … je n’en ai plus rien à faire. Ils ont fait leur choix, et subissent avec plus ou moins de réussite la monarchie de cet individu et de ses adjoints.
Moi, il m’ont laisser crever sans le moindre égard (à l’exception notable de 4, 5 personnes qui ont ma reconnaissance infinie.), alors pourquoi en aurais-je après pour eux. Je ne serais pas celui qui tendra l’autre joue alors que la première est encore endolorie.

Et les foudres divines (mais pourquoi se réveilleraient elles après la guerre et interviendraient en pleine dictature ???) pourraient bien fondre sur l’ensemble de ce royaume, que je resterais je le crains stoïque.
Perte d’humanité ?
J’en sais rien … j’espère que non … j’espère que c’est juste une expérience amère qui m’a fait prendre conscience d’erreur qu’il faudra éviter de reproduire à l’avenir. Mais rien n’est moins sûr … l’histoire est jonchée de ses instants que nous n’aurions jamais du reproduire, et que pourtant …

Bref, Nimbus Ier est toujours roi en son royaume et ça me chagrine moins qu’auparavant. Je ne crois même plus en une quelconque justice des hommes, tout comme « divine ».
Les salauds s’en sortent bien trop souvent.

Et comme on me l’a soufflé jadis, c’est la vie, la « fucking » vie.

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