Tu me faltas !

Lors d’un déjeuner récent (Mumh … a vue de pif ... pas plus tard que ce midi …) la conversation a dévié sur le politique. On a commencé par le film de Karl Zéro (Mais je n’en parlerais pas … ne l’ayant pas vu …) sur notre ami (être consensuel me perdra …) Jacquot …
Puis on a de nouveau dévié sur 2007 … et le pseudo désert que l’on sent arriver … et la crainte d’un nouveau 21 Avril … Donc the Come back of the bête (même très bête) JMLP … Et face à mes dires où j’évoquais que je n’avais voté ni pour Jacquot, ni pour JMLP … je me suis pris le courroux de certains : « Quoi … Comment … Mais t’es malade … Il s’agit pas de voter pour … mais contre … » …

M’ouais ... Mais non. Tout est dans le terme. On vote pour quelqu’un. Mais on ne vote pas contre. On ne vote pas, c’est tout. (Attention … cela ne vaut pas pour un référendum où l’on te demande bien souvent si tu es pour ou contre … là c’est possible …). C’est quoi cette idée … que « Ohlala … mais t’es inconscient … et si le JMLP était passé … tu serais en partie responsable … ».

FAUX. C’est ceux qui auraient voté pour lui. Pas moi. Je concède que si j’avais voté pour Jacquot j’aurais participé au soit disant barrage républicain. Mais justement, la république n’est ce pas par principe de voter pour des personnes défendant des idées qui nous ressemblent. Des personnes auxquels on peut s’identifier. Je suis désolé, …, mais les deux guignols là … très peu pour moi. Et puis à vrai dire … je ne sais pas si il y a quelqu’un actuellement qui puisse trouver grâce à mes yeux. Rien ne sonne vrai.

D’abord, …, en quel honneur ces messieurs (et dames …) ont t’ils besoin de conseillers en communications. De conseillers en images (pour ça … j’ai mon Panini !!!) et que sais-je d’autre. L’autre nain de Sarko … il a même des conseillers politiques (L’ami Pat en fait parti …). On croît rêver. Il ne peut même pas avoir une pensée politique seul ???
J’hallucine là … L’homme (la femme …) politique ne doit t’il pas défendre « ses » idées … Par principe s’il a la conviction … le foi en ce qu’il dit … il n’a pas besoin des poudres de perlimpinpin de tous ces charlatans … ces marchands du temple (whouahh … je deviens biblique !). Des types capables de te vendre de la droite et peu de temps après de la gauche.
Moi je dis halte. La politique, la chose politique … n’est pas une vulgaire boîte de cassoulet (quoiqu’elle soit rudement indigeste ces temps ci …) que l’on vend.
Preuve du malaise … l’abstention.

Pour résoudre cela … rendons le vote blanc utile. Reconnaissons qu’à un certain niveau (pourcentage) une élection ne puisse être validée (Bizarre … les élections des représentants du personnel dans les sociétés, doivent avoir un taux de participation de plus de 50% elles !). En contrepartie, le vote devient obligatoire. Une amende pour celui qui ne va pas voter (On tolérera le cas de force majeure … quand même …). Voilà.

Oui mais là … doucement … ne vais-je pas vers la dictature … hein !!!
J’en sais fichtrement rien en fait … Bon, …, croisons les doigts pour que quelqu’un trouve grâce à mes yeux d’ici 2007. Le problème sera réglé. En tout cas, à part la saleté … ma saleté (finalement j’y tiens rudement … plus qu’on me forcera à l’avouer …) … j’ai relativement peu confiance dans autrui. (Bon … y’a les amis … la famille (pas tous) … mais y’en a pas de quoi louer un car ….) … Trop de misère … de coups au travers la gueule ces derniers temps. Seul point positif. Les amis … les vrais. Ceux qui sont restés. Qui te parlent encore. Et ma saleté … sur ce plan là … je lui tire mon chapeau (Pensée auto censurée). Number one. Et là, elle va au soleil quelques jours … Hum … Je sens déjà le manque … ‘tain … comment je me suis accoutumé … Puisse la saleté passer de bonnes vacances.
« Tu vas a faltarme. Algunos no. Pero ti sí. Divierta bien … las comadrejas ! ».

Bizarre les z’amis … mais le cirque politique … lui … il ne me manque plus. Plus du tout. Et plus tu le regardes, …, plus tu y vois des ficelles … Dommage. M’enfin, p’t’être qu’un jour … quelqu’un comme la saleté (et les quelques autres pas très loin de mes pensées et de mon cœur) arrivera en politique. Une personne entière. Avec ses défauts et ses qualités (Nobody is perfect). Une personne vraie.

En attendant les z’amis … je m’aperçois (qu’apercevoir ne prend qu’un « p ») que cette note part dans le n’importe quoi … alors je dirais qu'une seule chose les z’amis … Tu me faltas (et prenez ça comme vous voulez …)