C’est l’histoire d’un homme et d’une femme qui ne se rencontrèrent jamais. Je crois même pouvoir dire qu’ils n’eurent jamais connaissance l’un de l’autre. Cependant, ils auraient dû. Mais allez savoir pourquoi … le destin se chia dessus.
C’est l’histoire d’un homme tranquille qui ne demandait pas grand-chose. Juste vivre. Mais la encore, allez savoir pourquoi, les foudres et les aléas d’une vie firent que la sienne ne su prendre que des chemins non carrossés, les pires voies qui puissent exister. Jamais il n’y faisait beau, toujours de la grisaille dans les meilleurs jours, des tempêtes diverses et variées le reste du temps.
Et le plus con dans l’affaire, c’est qu’il restait debout. Car il ne savait rien faire d’autre. Rester debout et déambuler sur ces piteux chemins, la face aux quatre vents, l’œil larmoyant et le nez coulant en raison du froid et des pluies battantes. Mais il restait debout. Il ne savait rien faire d’autre.
Parfois l’homme pensait à sa condition. Ça lui faisait mal. Il voulait hurler, invoquer le grand Ramashtramanh … mais l’inutilité de telles actions lui revenait à chaque fois en pleine face … Et vous savez quoi … ça lui faisait mal …Mais jusqu’au bout il resterait debout … jusqu’au bout … Un jour il prit la route de gauche … et plus personne ne le revit jamais … Peut être que finalement … il y faisait beau … au bout de cette route encore plus exécrable que toutes les autres … Oui … ça ne pouvait qu’être ça … non !
C’est l’histoire d’un homme tranquille qui ne demandait pas grand-chose. Juste vivre. Mais la encore, allez savoir pourquoi, les foudres et les aléas d’une vie firent que la sienne ne su prendre que des chemins non carrossés, les pires voies qui puissent exister. Jamais il n’y faisait beau, toujours de la grisaille dans les meilleurs jours, des tempêtes diverses et variées le reste du temps.
Et le plus con dans l’affaire, c’est qu’il restait debout. Car il ne savait rien faire d’autre. Rester debout et déambuler sur ces piteux chemins, la face aux quatre vents, l’œil larmoyant et le nez coulant en raison du froid et des pluies battantes. Mais il restait debout. Il ne savait rien faire d’autre.
Parfois l’homme pensait à sa condition. Ça lui faisait mal. Il voulait hurler, invoquer le grand Ramashtramanh … mais l’inutilité de telles actions lui revenait à chaque fois en pleine face … Et vous savez quoi … ça lui faisait mal …Mais jusqu’au bout il resterait debout … jusqu’au bout … Un jour il prit la route de gauche … et plus personne ne le revit jamais … Peut être que finalement … il y faisait beau … au bout de cette route encore plus exécrable que toutes les autres … Oui … ça ne pouvait qu’être ça … non !
1 commentaire:
ça file des frissons ton truc là O__O
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