29 janvier 2008

Las camisas no esperan

Ouais … elles s’entassent comme de vilaines chiffes molles. Mais par essence ne le sont t’elles pas. Si … finalement. Tout comme à l’image de leur serviteur, plus le temps passe … plus leurs couleurs s’affadissent … cruauté primaire de nos vies …
Bref fripées, ternes … je me dois au moins de leur donner une apparence plus lisse, plus emprunte de solennité.

C’est pourquoi d’ici quelques minutes … Babou … à sa grande honte (je nierais les faits et être au courant de cette activité dégradante pour tout homme qui se respecte … larchouma sur moi si j’avouais … même sous les pires tortures …) va se tenir droit devant la table à repasser, muni de sa provision d’eau, et prêt à en découdre avec ses maudites chemises.

C’est dans des moments semblables de solitude … que je me dis … que franchement miss Miss … Grave même … (Message personnel au divin : Euh … tu pourrais pas accélérer le processus … hein ! … parce que là … ça urge … à tous les points de vue … merci.).

Sur ce z’ami, perception du Fer … et en position de combat. A plus.

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