9 décembre 2008

J’en parlerai à mon cheval

Trop fort le Sénateur qui a osé … que dis-je … qui a eu l’outrecuidance de proposer un amendement en faveur des boursicoteurs … qui ont eu des pertes …

Du grand n’importe quoi.
Je joue à la bourse : Tant mieux si je gagne … et si je perds … ben pas grave, mes pertes seront déductibles de mes impôts. (d’ailleurs j’apprends au passage qu’une loi scélérate de 2003 permettrait d’étaler ses pertes sur des bénéfices futurs sur une période de 10 ans, et par conséquent d’alléger ses impôts … par ses pertes (Émile … faut suivre, …, je viens de le dire !) … va falloir que j’approfondisse cette énormité …). L’état prendra à sa charge mes pertes. Et l’état z’ami, c’est toi et moi.

Mais ouf … ça a fait un peu jaser … et on a prié le zélé sénateur de retirer son amendement.
N’empêche que la loi … semble déjà le permettre dans un certain degré z’ami … et ça … ça me turlupine le thalamus, tandis que mon hippocampe (Uhhh … tout doux bijou !) enregistre tout cela dans un coin.

Sur ce z’ami … comme d’hab … il se fait tard … alors je te laisse et à la prochaine. Tchô.

Aucun commentaire: