Ah, notre monde en est rempli de pourquoi. De pourquoi la terre est ronde à pourquoi tu m’aimes pas, il y en a tant. Tant dont la réponse est parce que. Parce que c’est comme ça et pas autrement. C’est comme ça parce que ta tronche d’ahuri de première n’a pas le moindre neurone assez fugace pour en saisir les causes et raisons, et puis, qu’est ce que tu cherches vraiment. Parce que savoir pourquoi la terre est ronde et pas plate ça va avancer à quoi (A part savoir que tu ne te casseras pas la gueule arrivé au bout !!!). Hein ?
Car si tu ne cherches pas vraiment au fond de toi les origines de l’univers, du cosmos, du rien en sorte, qu’est ce que cela va changer pour toi. Dis moi !
Non, laisse ça au gens qui peuvent ou n’ont que ça à faire. A trop chercher on finit par ne jamais rien trouver. Voire dans le meilleur des cas à se perdre. Et puis, à « pourquoyer » sans cesse, ne cherche t’on pas à s’immiscer à la place de cet hypothétique Dieu, cet être anxiolytique qui par sa seule évocation devrait être réponse à tout.
Evidemment que je m’en pose des pourquoi, des milliers même. Mais force est de constater que ça ne me sert la plupart du temps qu’à tirer des plans sur la comète (Allez, allez, …, encore une enigme que ces bidules là …). Quand je me pose un pourquoi, j’arrive facile à me faire 3 ou 4 parce que. Finalement, j’augmente ma problématique. Alors pourquoi me les pose je ? (oups, que ça fait horrible écrit comme ça). Probablement un gène commun à beaucoup (tiens tu vois, la réponse est même pas sûre … qu’est ce que je disais).
A moins finalement que cela ne serve à flatter notre ego, à lui montrer que « Eh, matte ça blaireau comme j’suis un gars fortiche et intelligent, j’arrive à répondre des parce que à la chaîne … c’est pas balèze ça ! » …
Encore un pourquoi que je ne pourrais, ne saurais (que sais-je ! ... une collection avec plein de pourquoi et parce que dedans) résoudre. Pourquoi pourquoi ? Et puis pourquoi pas !
En attendant d’atteindre la (les !) vérité céleste, je m’en vais vous laisser les z’amis.
Car si tu ne cherches pas vraiment au fond de toi les origines de l’univers, du cosmos, du rien en sorte, qu’est ce que cela va changer pour toi. Dis moi !
Non, laisse ça au gens qui peuvent ou n’ont que ça à faire. A trop chercher on finit par ne jamais rien trouver. Voire dans le meilleur des cas à se perdre. Et puis, à « pourquoyer » sans cesse, ne cherche t’on pas à s’immiscer à la place de cet hypothétique Dieu, cet être anxiolytique qui par sa seule évocation devrait être réponse à tout.
Evidemment que je m’en pose des pourquoi, des milliers même. Mais force est de constater que ça ne me sert la plupart du temps qu’à tirer des plans sur la comète (Allez, allez, …, encore une enigme que ces bidules là …). Quand je me pose un pourquoi, j’arrive facile à me faire 3 ou 4 parce que. Finalement, j’augmente ma problématique. Alors pourquoi me les pose je ? (oups, que ça fait horrible écrit comme ça). Probablement un gène commun à beaucoup (tiens tu vois, la réponse est même pas sûre … qu’est ce que je disais).
A moins finalement que cela ne serve à flatter notre ego, à lui montrer que « Eh, matte ça blaireau comme j’suis un gars fortiche et intelligent, j’arrive à répondre des parce que à la chaîne … c’est pas balèze ça ! » …
Encore un pourquoi que je ne pourrais, ne saurais (que sais-je ! ... une collection avec plein de pourquoi et parce que dedans) résoudre. Pourquoi pourquoi ? Et puis pourquoi pas !
En attendant d’atteindre la (les !) vérité céleste, je m’en vais vous laisser les z’amis.
- Pourquoi ?
- Oh, simplement parce que …
1 commentaire:
Tippie> J'avais cru voir aussi ...
Enregistrer un commentaire