Je ne te parlerai pas z’ami de la légende de la création de la galette, ou l’histoire de deux amis, dont l’un roi, fortement éméchés, …, de cela il n’en est pas question. Ce n'est tout au plus qu'une légende et non un fait historique irréfutable.
Par contre de l’origine certifiée 100% véritable, alors oui … z’ami c’est de ça qu’il va être question.
C’est ainsi, que par un beau matin de l’été 731, Charles Martel, la maire d’une commune qui n’existe plus aujourd’hui, bataillait ferme sur plusieurs fronts. En gros ça chicorait grave au royaume des francs (aujourd’hui des euros, 6,55957 fois moins nombreux que les francs … mais bien plus costaud). Cependant une menace encore plus grande que les guerres de conquêtes du front de l’Est allait débarqué sur les plages … Euh non … les pyrénées.
L’infâme Abd el-Rahman (Booouuuuuhhhhh … le vilain …) s’apprêtait à envahir le royaume, cet abruti de duc d'Aquitaine, Eudes, ayant eu la non moins stupide idée de vouloir aller lui chercher des poux. Ce que le sarrasin eut tôt fait de mal prendre.
Ni une, ni deux, ce dernier enfourcha son bel étalon arabe (oui comme ça …) et « sussa » à l’ennemi qui avait ainsi mis en doute sa propreté capillaire.
Et comme Eudes n’était pas à une vilénie près, il s’empressa d’aller demander de l’aide à ce brave Charles Martel … prétextant qu’il y avait un sarrasin qui faisait rien qu’à l’embêter.
Ce blaireau de Eudes étant un cousin par alliance de la femme de chambre de la maîtresse en second du grand chambellan, vice roi de Montcuq excusez du peu !!!, Charles se sentit (hum, hum … ça va … c’est supportable) en devoir d’aider ce vilain. Il se déplaça donc himself avec son armée en aquitaine (nous étions à ce moment déjà en 732 ... aprèsJean-Claude JC) afin de bouter l’envahisseur Abd el-Rahman.
C’est d’ailleurs en arrivant aux alentours de Poitiers qu’il cria sa célèbre phrase « Ah, ah, ah … par la puissance de Thor … on va faire des galettes de sarrasins … ».
Après une formidable lutte, la défaite sarrasine fut complète.
Le grand chambellan, en hommage au cri d’attaque de Charles Martel sus cité, voulut déposer une recette de galette de son invention à base d’amande, qu’il pensait faire nommer « Galette de sarrasins ». Cependant après vérifications à L’INPI (Filiales d’un type appelé INRI … à ce qu’il parait …), il s’avéra que ce nom était déjà pris par une sorte de plat régional … d’un village anciennement gaulois … enfin qui était semble t’il toujours irréductiblement gaulois à l’époque. Et franchement, le grand Chambellan se dit qu’on allait pas se pivoiner la face pour si peu. Surtout que les noms en « .com » « .fr » « .org » et « .eu » étaient déjà réservés.
Bref, après d’intenses réflexions, et la visite nocturne en songe de trois gars casqués (à cette époque aussi des substances plus ou moins psychotropes pouvaient être ingurgitées) … il décida qu’il appellerait sa recette « La galette des rois ». Il poussa même l’audace jusqu’à y incorporer une fève … en lançant à l’assistance, enfin c’est ce que dit la légende … : « Comme ça … celui qui trouvera la fève sera roi … et il pourra tirer sa reine … ». Mais là, franchement, cette thèse est sujette à controverse (on en parla même jusqu’à Valladolid … c’est pour dire), que même Vatican II ne parvint pas à trancher, à l’instar de la fameuse galette, qui au travers des siècles, garda son côté savoureux ma foi.
Voilà z’ami … la véritable histoire sur l’origine de la galette des rois. Et puis Fanny de toutes façons, elle confirme. Alors c’est que ça doit être pris pour quelque chose de sérieux. Fanny elle a pas pour habitude de raconter des bobards. Ça c’est bon pour les Marseillais digne de Marius.
A par ça rien de neuf, alors je te dis à plus.
Par contre de l’origine certifiée 100% véritable, alors oui … z’ami c’est de ça qu’il va être question.
C’est ainsi, que par un beau matin de l’été 731, Charles Martel, la maire d’une commune qui n’existe plus aujourd’hui, bataillait ferme sur plusieurs fronts. En gros ça chicorait grave au royaume des francs (aujourd’hui des euros, 6,55957 fois moins nombreux que les francs … mais bien plus costaud). Cependant une menace encore plus grande que les guerres de conquêtes du front de l’Est allait débarqué sur les plages … Euh non … les pyrénées.
L’infâme Abd el-Rahman (Booouuuuuhhhhh … le vilain …) s’apprêtait à envahir le royaume, cet abruti de duc d'Aquitaine, Eudes, ayant eu la non moins stupide idée de vouloir aller lui chercher des poux. Ce que le sarrasin eut tôt fait de mal prendre.
Ni une, ni deux, ce dernier enfourcha son bel étalon arabe (oui comme ça …) et « sussa » à l’ennemi qui avait ainsi mis en doute sa propreté capillaire.
Et comme Eudes n’était pas à une vilénie près, il s’empressa d’aller demander de l’aide à ce brave Charles Martel … prétextant qu’il y avait un sarrasin qui faisait rien qu’à l’embêter.
Ce blaireau de Eudes étant un cousin par alliance de la femme de chambre de la maîtresse en second du grand chambellan, vice roi de Montcuq excusez du peu !!!, Charles se sentit (hum, hum … ça va … c’est supportable) en devoir d’aider ce vilain. Il se déplaça donc himself avec son armée en aquitaine (nous étions à ce moment déjà en 732 ... après
C’est d’ailleurs en arrivant aux alentours de Poitiers qu’il cria sa célèbre phrase « Ah, ah, ah … par la puissance de Thor … on va faire des galettes de sarrasins … ».
Après une formidable lutte, la défaite sarrasine fut complète.
Le grand chambellan, en hommage au cri d’attaque de Charles Martel sus cité, voulut déposer une recette de galette de son invention à base d’amande, qu’il pensait faire nommer « Galette de sarrasins ». Cependant après vérifications à L’INPI (Filiales d’un type appelé INRI … à ce qu’il parait …), il s’avéra que ce nom était déjà pris par une sorte de plat régional … d’un village anciennement gaulois … enfin qui était semble t’il toujours irréductiblement gaulois à l’époque. Et franchement, le grand Chambellan se dit qu’on allait pas se pivoiner la face pour si peu. Surtout que les noms en « .com » « .fr » « .org » et « .eu » étaient déjà réservés.
Bref, après d’intenses réflexions, et la visite nocturne en songe de trois gars casqués (à cette époque aussi des substances plus ou moins psychotropes pouvaient être ingurgitées) … il décida qu’il appellerait sa recette « La galette des rois ». Il poussa même l’audace jusqu’à y incorporer une fève … en lançant à l’assistance, enfin c’est ce que dit la légende … : « Comme ça … celui qui trouvera la fève sera roi … et il pourra tirer sa reine … ». Mais là, franchement, cette thèse est sujette à controverse (on en parla même jusqu’à Valladolid … c’est pour dire), que même Vatican II ne parvint pas à trancher, à l’instar de la fameuse galette, qui au travers des siècles, garda son côté savoureux ma foi.
Voilà z’ami … la véritable histoire sur l’origine de la galette des rois. Et puis Fanny de toutes façons, elle confirme. Alors c’est que ça doit être pris pour quelque chose de sérieux. Fanny elle a pas pour habitude de raconter des bobards. Ça c’est bon pour les Marseillais digne de Marius.
A par ça rien de neuf, alors je te dis à plus.
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