Un jeune Marseillais a perdu la vie, fauché par une voiture de police. Celle-ci, l’a percuté sur un passage piéton. S’il apparaît vrai, que cette dernière a grillé le feu, et roulait à une allure un peu trop vive, on pourra considérer que cette mort injuste, et encore une preuve de la bêtise. Humaine, hein … n’allez pas la chercher ailleurs.
Ça me rappelle que soir et matin, j’en croise, des gens du ministère de l’intérieur. Tout gyrophare pimpant et clignotant, ils se faufilent au milieu des bouchons, allant de droite à gauche, vous tassant pour se frayer un chemin. C’est qu’ils ont l’air pressés. Pour quoi, on aimerait bien le savoir. Car généralement ils sont seuls. On dirait vraiment du bureaucrate qui est en retard au bureau. Ou plutôt qui s’auto attribuent le passe droit de dormir une demie heure en plus. Car il semblerait que ces messieurs, ce n’est pas le commun des mortels. Oh non ! Ce n’est pas eux qui vont attendre dans les bouchons. Ce n’est pas eux qui vont mettre trois quarts d’heure pour faire vingt bornes. Ah non, c’est hors de question. Et puis quoi, se lever plus tôt tant qu’on y est !
Bref, je sais, on me dira que tout le monde fait ça (le sommet de l’état en premier … faudrait voir à pas être en retard au Bourget pour prendre l’avion…) … que tout le monde cherche son petit passe droit … mais à force, cela s’insinue dans les habitudes, et il advient une vie en moins à Marseille. Après, on ira expliquer aux parents qu’on est peut être désolé … mais, hein, …, tout le monde fait ça !
Allez trêve de « râlitude » (made in Segoland 2007), mon tensiomètre va finir par exploser, et après je serais rudement embêté. Et je n’aime pas être embêté. Je sais, c’est ballot, mais c’est comme ça. Et puis z’ami, faudrait voir à ne pas m’énerver en plus. Non mais.
‘tain il est où mon passe droit je suis zen … ultra zen … Pfuuffff … j’vous jure, …
Ça me rappelle que soir et matin, j’en croise, des gens du ministère de l’intérieur. Tout gyrophare pimpant et clignotant, ils se faufilent au milieu des bouchons, allant de droite à gauche, vous tassant pour se frayer un chemin. C’est qu’ils ont l’air pressés. Pour quoi, on aimerait bien le savoir. Car généralement ils sont seuls. On dirait vraiment du bureaucrate qui est en retard au bureau. Ou plutôt qui s’auto attribuent le passe droit de dormir une demie heure en plus. Car il semblerait que ces messieurs, ce n’est pas le commun des mortels. Oh non ! Ce n’est pas eux qui vont attendre dans les bouchons. Ce n’est pas eux qui vont mettre trois quarts d’heure pour faire vingt bornes. Ah non, c’est hors de question. Et puis quoi, se lever plus tôt tant qu’on y est !
Bref, je sais, on me dira que tout le monde fait ça (le sommet de l’état en premier … faudrait voir à pas être en retard au Bourget pour prendre l’avion…) … que tout le monde cherche son petit passe droit … mais à force, cela s’insinue dans les habitudes, et il advient une vie en moins à Marseille. Après, on ira expliquer aux parents qu’on est peut être désolé … mais, hein, …, tout le monde fait ça !
Allez trêve de « râlitude » (made in Segoland 2007), mon tensiomètre va finir par exploser, et après je serais rudement embêté. Et je n’aime pas être embêté. Je sais, c’est ballot, mais c’est comme ça. Et puis z’ami, faudrait voir à ne pas m’énerver en plus. Non mais.
‘tain il est où mon passe droit je suis zen … ultra zen … Pfuuffff … j’vous jure, …
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