Comme tu le sais sûrement z’ami, je suis allé deux jours en « séminaire » du côté de Barcelone. Ce fut sympa … quoique pour la vie nocturne espagnole … on repassera. On est sorti le soir … et sur le coup de minuit … ben on était bien les seuls à vouloir boire un coup …
P’tits joueurs que ces espagnols … non !!!
Bref … là n’est pas le sujet …
Car il faut le savoir, …, une de mes collègues, dont le contrat peut être qualifié de « précaire » (Un CDD quoi !) a lamentablement tenté de m’occire pendant une virée en quad. Sûrement s’est t’elle dit que si je venais à disparaître, sa précarité pourrait s’en trouver grandement soulagée.
Mais elle a échoué … non pas que son plan soit si mauvais que ça … mais sa réalisation, elle, si !
Que je t’explique. On avait un quad pour deux … et je suis tombé avec elle. Au début tout se passe bien. Je pilote, elle est derrière. Ça la secoue (moi aussi), à vrai dire les chemins de terres remplient de grosses pierres … ça n’aide pas, mais bon … on y arrive. Mais toute bonne chose à une fin, et la demoiselle passe derrière le guidon. Et là c’est le drame.
A sa décharge, il faut bien avouer que notre quad avait une direction contre laquelle il fallait lutter. Donc tant que c’est droit, sans pierre qui t’envoie à droite ou à gauche, cette charmante enfant s’en tire bien.
Mais fatalement, arrive le moment qu’elle attendait pour sa tentative de meurtre. Un virage sec afin de prendre un nouveau petit chemin. Elle le rate lamentablement, et nous voilà entraînés vers l’extérieur, vers la ravin. Mais dans un réflexe ultime je me saisis du guidon et tente de redresser la course fatale de l’engin tout en freinant. Nous finissons notre course dans un arbuste qui achève de nous arrêter, le quad légèrement en pente.
Ouf. Le lâche attentat de ma collègue a échoué. Le ravin est à notre droite, …, mais nous ne le dévalerons pas. Cependant ne voulant pas tenter le diable, j’ai repris les commandes pour le reste de la ballade. Pas fou le Babou.
Par ailleurs, au passage, j’ai appris qu’il y avait des degrés dans l’insulte en espagnol, notre accompagnateur lâchant quelques jurons bien sentis, lorsque notre quad se refusa à vouloir redémarrer suite à cette sortie de piste. Il y eu « Hijo de puta » … puis peu après « hijo de la grande puta » …
J’en déduis … qu’il y en une qui à l’air d’être la chef.
Sur ce z’ami, je te laisse … tu sais les vacances … tout ça … je me fatigue très vite …
A plus.
P’tits joueurs que ces espagnols … non !!!
Bref … là n’est pas le sujet …
Car il faut le savoir, …, une de mes collègues, dont le contrat peut être qualifié de « précaire » (Un CDD quoi !) a lamentablement tenté de m’occire pendant une virée en quad. Sûrement s’est t’elle dit que si je venais à disparaître, sa précarité pourrait s’en trouver grandement soulagée.
Mais elle a échoué … non pas que son plan soit si mauvais que ça … mais sa réalisation, elle, si !
Que je t’explique. On avait un quad pour deux … et je suis tombé avec elle. Au début tout se passe bien. Je pilote, elle est derrière. Ça la secoue (moi aussi), à vrai dire les chemins de terres remplient de grosses pierres … ça n’aide pas, mais bon … on y arrive. Mais toute bonne chose à une fin, et la demoiselle passe derrière le guidon. Et là c’est le drame.
A sa décharge, il faut bien avouer que notre quad avait une direction contre laquelle il fallait lutter. Donc tant que c’est droit, sans pierre qui t’envoie à droite ou à gauche, cette charmante enfant s’en tire bien.
Mais fatalement, arrive le moment qu’elle attendait pour sa tentative de meurtre. Un virage sec afin de prendre un nouveau petit chemin. Elle le rate lamentablement, et nous voilà entraînés vers l’extérieur, vers la ravin. Mais dans un réflexe ultime je me saisis du guidon et tente de redresser la course fatale de l’engin tout en freinant. Nous finissons notre course dans un arbuste qui achève de nous arrêter, le quad légèrement en pente.
Ouf. Le lâche attentat de ma collègue a échoué. Le ravin est à notre droite, …, mais nous ne le dévalerons pas. Cependant ne voulant pas tenter le diable, j’ai repris les commandes pour le reste de la ballade. Pas fou le Babou.
Par ailleurs, au passage, j’ai appris qu’il y avait des degrés dans l’insulte en espagnol, notre accompagnateur lâchant quelques jurons bien sentis, lorsque notre quad se refusa à vouloir redémarrer suite à cette sortie de piste. Il y eu « Hijo de puta » … puis peu après « hijo de la grande puta » …
J’en déduis … qu’il y en une qui à l’air d’être la chef.
Sur ce z’ami, je te laisse … tu sais les vacances … tout ça … je me fatigue très vite …
A plus.
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