Certaines personnes de mon entourage semblent penser, bizarrement à mon avis, que je sois un brin doué pour écrire ...
Le problème, c'est que moi je ne le pense pas trop ... Certes je sais écrire comme tout un chacun (j'ai été à l'école tout de même !!!) en alignant quelques mots sur une feuille, voire sur un clavier d'ordinateur (comme maintenant ...) ... mais il m'arrive souvent de pondre des trucs qui n'intéresseraient même pas ma concierge (concierge que je n'ai pas d'ailleurs) ... Alors bon, pour faire plaisir à "certaines personnes", je vais vous mettre un exemple d'un p'tit truc que j'aurais pu dédicacer à ma concierge (que je n'ai toujours pas, pour ceux qui suivent ...) ...
Le problème, c'est que moi je ne le pense pas trop ... Certes je sais écrire comme tout un chacun (j'ai été à l'école tout de même !!!) en alignant quelques mots sur une feuille, voire sur un clavier d'ordinateur (comme maintenant ...) ... mais il m'arrive souvent de pondre des trucs qui n'intéresseraient même pas ma concierge (concierge que je n'ai pas d'ailleurs) ... Alors bon, pour faire plaisir à "certaines personnes", je vais vous mettre un exemple d'un p'tit truc que j'aurais pu dédicacer à ma concierge (que je n'ai toujours pas, pour ceux qui suivent ...) ...
MORT D’AUTOMNE
Choisir de mourir en automne
Quand le vent et le tonnerre résonnent,
Quand plus personne ne s’étonne
De voir disparaître un homme.
Noyé au fond d’un verre de rhum,
Pendu au bout d’un téléphone,
Fauché par un dernier ultimatum,
Décapité par un cédérom,
Bref, tout pour que le glas sonne,
Qu’un triste alléluia on entonne,
Hymne qu’en silence la foule fredonne
Au rythme de nos vies monotones.
Choisir de mourir en automne
Quand la tristesse en nous s’adonne,
Quand d’amertume on s’empoisonne,
Quand plus rien ne nous illusionne.
Choisir de mourir en automne
Quand le vent et le tonnerre résonnent,
Quand plus personne ne s’étonne
De voir disparaître un homme.
Noyé au fond d’un verre de rhum,
Pendu au bout d’un téléphone,
Fauché par un dernier ultimatum,
Décapité par un cédérom,
Bref, tout pour que le glas sonne,
Qu’un triste alléluia on entonne,
Hymne qu’en silence la foule fredonne
Au rythme de nos vies monotones.
Choisir de mourir en automne
Quand la tristesse en nous s’adonne,
Quand d’amertume on s’empoisonne,
Quand plus rien ne nous illusionne.
Désolé ... Moi je voulais pas ... je vous jure ... je ne voulais pas ... C'est glauque, n'ayant pas réellement de sens (interdit, unique, commun ...) ... mais par contre, je me suis beaucoup amusé à l'époque ... écrire un truc n'ayant ni queue ni tête (je mens un peu là, y'a quand même une certaine logique ... mais je dois être le seul à tout saisir ...) était trés divertissant ... Et puis ça remonte à longtemps, j'espère que l'on me pardonnera ... de toutes façons y'a prescription ...
A la prochaine.
1 commentaire:
oui tu as du talent !!!
Enregistrer un commentaire