De l’inutilité du balai

Il est une coutume (du moins parisienne est t’elle, ça j’en suis sûr) des temps modernes qui consiste à ne plus se donner la peine de balayer les caniveaux. Vrai. Il est inutile de passer ce bon vieux coup de balai, … Nous avons mieux mes bons … nettement mieux. En effet rien de tel que d’ouvrir une bouche à incendie, et de faire couler un torrent d’eau sensé emporter toutes les saletés s’y entassant. Du moins c’est la théorie.

Et puis je sais pas pourquoi, ils adorent faire ça la nuit. Ils laissent l’eau couler pendant des heures. Et des heures. Moi qui croyais que l’eau devait faire l’objet de moult précautions et d’économie rapport à l’écologie et tout ça. Faudra que j’en touche deux mots à Nicolas. Hulot hein … n’allez pas vous méprendre … bandes de vils gredins ! N’empêche, pour le coup, j’ai p’t’être du mal comprendre.
Et puis ils font des petits barrages afin de faire partir l’eau dans telle ou telle direction. Le problème (je sais … je suis jamais content … que voulez vous …) c’est que parfois ça fait des mares … et t’as plutôt intérêt à t’appeler Steve Austin … si tu veux traverser. La petite mémé … elle, elle n’a plus qu’à faire le tour … (Bon … c’est pas comme si tu avais a traverser la Seine … mais c’est pas loin). Et puis je vous dis pas … en cas de gel … D’ailleurs … ils vont devoir ressortir les balais pour l’hiver … leur connerie de torrents des montagnes … va falloir qu’ils arrêtent s’ils veulent pas qu’on se la joue holiday on ice … et crac boum hue … euh non, aïe … je m’a cassé la jambe – le coccyx – le bras – le crâne (Biffer les mentions inutiles).

Bref les z’amis … d’où le titre … qui somme tout, je le reconnais … résume assez bien le truc. Demain, nous parlerons de l’inutilité de la doudoune en milieu aquatique subtropical. Sur ce à plus les z’amis.