A l’instar du gars Marcel, longtemps je me suis couché tard. Je ne peux pas dire que cela ait apporté de considérables bénéfices à ma p’tite vie.
Longtemps j’ai couru après des rêves chimériques, des utopies à la peau bien trop lisse … Cependant mon esprit ne peut s’en détacher. Malgré qu’au fond de moi j’aspire (like a hoover, …, ouh, just for the very first time …) à m’éloigner le plus possible de ces aspirations encombrantes, il est une lueur secrète qui à jamais me ramène vers elles. Rien ni personne n’ont changé fondamentalement certains de ces rêves. Rien.
J’ai beau me dire qu’à chercher l’inexistant je finirais par ne rien trouver et à rater l’existant, je continue malgré cela à chercher.
Oh, j’ai bien dès fois crû avoir enfin déniché un de ces rêves, mais tel l’eau d’une clepsydre il m’a filé entre les doigts, aussi joint ai-je pu les tenir. C’est regrettable et rageant au plus haut point.
Ces derniers jours, j’ai conceptualisé d’en attraper un nouveau. Mes mains se sont avancées, et l’ont saisi le plus délicatement qu’elles ont pu. Je n’ose plus bouger, plus respirer. Je sens qu’il est là. Je n’ose desserrer les doigts pour jeter un œil. Pourtant je sais qu’il est là au creux de ma main. L’enfermer sous vide serait la solution … mais je ne pourrais alors que le contempler. Inutile il me serait alors, aurait dit maître Yoda. Non, il faut qu’une nouvelle fois j’entrouvre mes mains, en laissant un creux assez profond pour que le liquide daigne rester. Vais-je y arriver. Ne sera-t-il pas capricieux. Et si c’était un rêve gazeux. Trop de questions et pas assez de réponses. Des bonnes en plus. J’hésite …
Longtemps je me suis couché tard à force de me demander si je devais ouvrir mes mains jointes. Longtemps j’ai hésité … Tellement longtemps que prit de crampes, bien souvent je laissais tout échapper. Ce soir j’ai décidé de me coucher tôt. J’ai rusé, …, j’ai mis le liquide précieux dans une bouteille. On verra bien demain.
Sur ce les z’amis, pour joindre la parole à l’action, …, bonne nuit. A plus.
Longtemps j’ai couru après des rêves chimériques, des utopies à la peau bien trop lisse … Cependant mon esprit ne peut s’en détacher. Malgré qu’au fond de moi j’aspire (like a hoover, …, ouh, just for the very first time …) à m’éloigner le plus possible de ces aspirations encombrantes, il est une lueur secrète qui à jamais me ramène vers elles. Rien ni personne n’ont changé fondamentalement certains de ces rêves. Rien.
J’ai beau me dire qu’à chercher l’inexistant je finirais par ne rien trouver et à rater l’existant, je continue malgré cela à chercher.
Oh, j’ai bien dès fois crû avoir enfin déniché un de ces rêves, mais tel l’eau d’une clepsydre il m’a filé entre les doigts, aussi joint ai-je pu les tenir. C’est regrettable et rageant au plus haut point.
Ces derniers jours, j’ai conceptualisé d’en attraper un nouveau. Mes mains se sont avancées, et l’ont saisi le plus délicatement qu’elles ont pu. Je n’ose plus bouger, plus respirer. Je sens qu’il est là. Je n’ose desserrer les doigts pour jeter un œil. Pourtant je sais qu’il est là au creux de ma main. L’enfermer sous vide serait la solution … mais je ne pourrais alors que le contempler. Inutile il me serait alors, aurait dit maître Yoda. Non, il faut qu’une nouvelle fois j’entrouvre mes mains, en laissant un creux assez profond pour que le liquide daigne rester. Vais-je y arriver. Ne sera-t-il pas capricieux. Et si c’était un rêve gazeux. Trop de questions et pas assez de réponses. Des bonnes en plus. J’hésite …
Longtemps je me suis couché tard à force de me demander si je devais ouvrir mes mains jointes. Longtemps j’ai hésité … Tellement longtemps que prit de crampes, bien souvent je laissais tout échapper. Ce soir j’ai décidé de me coucher tôt. J’ai rusé, …, j’ai mis le liquide précieux dans une bouteille. On verra bien demain.
Sur ce les z’amis, pour joindre la parole à l’action, …, bonne nuit. A plus.
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