Mon visage est éclairé par le halo de la page blanche du traitement de texte. J’ai sûrement le teint blafard. Le teint du type qui couve un truc que c’est même pas possible de le concevoir. Et puis j’ai l’étiquette de ma chemise qui me pique sur le côté. T’tain de chinois, qu’est ce qu’ils ont à mettre des étiquettes grandes comme du A4 (Pas la voiture, hein … on parle bien du papier là … on parle bien normalisation …).
Et puis y’à Tears for fears qui veux que je crie () … je sais pas trop bien pourquoi … Tiens, c’est p’t’être le gars Gérard qu’à la solution … Il dit que son amour est parti dans les grottes de Rocamadour … enfin Rock amadour … ça fait plus vrai … ça fait plus le gars couillu …
Bon où en étais-je … (non elle n’a pas de tâches de rousseur sur le postérieur … et elle ne porte pas de souliers vernis … n’importe quoi ce Gérard …) …
Ah, oui. Le syndrome de la page blanche du gars qui blêmit quand vient le soir, quant à l’obscurité, il choisit la pâleur de son écran LCD. Ouais, parce que là, z’ami lecteur, on est l’été, et à la télé il n’y a rien. Et en plus ... le gars il a fini assez tard, il est crevé (un peu) et il n’a pas le courage de se bouger le fion au cinéma (Bien que Persepolis le tente grave en ce moment …). Il se demande s’il a encore quelques amis dans le coin … ça fait longtemps que pour certains, il ne les a pas vu … Il a envoyé des mèls … mais personne ne lui a répondu. Ah, si. Une personne … Un mois pour répondre … mais une réponse. Yes !
Et si Andy pouvait répondre oui, ça lui ferait plaisir à Catherine. L’inverse peut être aussi vrai.
Bon, alors cette fichue page blanche, s’est elle assombrie … Tel un buvard a t’elle absorbé le cafard (ou assimilé) de l’auteur perplexe. De noir s’est elle remplie la perfide. (Tiens un climat cocotier, …, les tropiques, …, oui je vais prendre tes mains si tu as mal … moi aussi j’ai chaud … mais ça c’est la bière …). Mais oui, mais oui, …, ça a avancé un peu … (le rythme des percus est pas mal là, non …) … Moi aussi j’ai chaud (mais c’est toujours et encore à cause de la bière …) … Mais climatiquement, y’a pas vraiment de quoi en ce moment …
Enfin, va quand même falloir que je trouve de quoi faire avant d’aller rejoindre Morphée … J’vais p’t’être me faire une vendetta … histoire de passer le temps, de passer ce moment d’angoisse post sommeil … Tu sais toi z’ami, si V for Vendetta c’est bien … ()
Hélas tu ne peux pas me répondre … Suis-je bête … dans quel état gère … à moins que ce ne soit ceux d’Eric … Vagues à l’âme en terrain vague, il divague (« vague » … mais celle là je l’ai déjà faite !) … effectivement, je crois que je l’aurai vu … d’ici à ce qu’une éventuelle réponse de ta part ne me parvienne …
Bon, ben z’ami … je vais te laisser … la page blanche a fait une partie de son office. Ton écoute silencieuse a aussi été appréciée … comme quoi, je reviendrai p’t’être en deuxième semaine. D’toutes façons, les lits sont en train de brûler, c’est donc pas encore l’heure d’aller s’y coucher (mettre une scie à plat, vous verrez bien le résultat). Allez la bise z’ami. Bonne soirée.
Et puis y’à Tears for fears qui veux que je crie () … je sais pas trop bien pourquoi … Tiens, c’est p’t’être le gars Gérard qu’à la solution … Il dit que son amour est parti dans les grottes de Rocamadour … enfin Rock amadour … ça fait plus vrai … ça fait plus le gars couillu …
Bon où en étais-je … (non elle n’a pas de tâches de rousseur sur le postérieur … et elle ne porte pas de souliers vernis … n’importe quoi ce Gérard …) …
Ah, oui. Le syndrome de la page blanche du gars qui blêmit quand vient le soir, quant à l’obscurité, il choisit la pâleur de son écran LCD. Ouais, parce que là, z’ami lecteur, on est l’été, et à la télé il n’y a rien. Et en plus ... le gars il a fini assez tard, il est crevé (un peu) et il n’a pas le courage de se bouger le fion au cinéma (Bien que Persepolis le tente grave en ce moment …). Il se demande s’il a encore quelques amis dans le coin … ça fait longtemps que pour certains, il ne les a pas vu … Il a envoyé des mèls … mais personne ne lui a répondu. Ah, si. Une personne … Un mois pour répondre … mais une réponse. Yes !
Et si Andy pouvait répondre oui, ça lui ferait plaisir à Catherine. L’inverse peut être aussi vrai.
Bon, alors cette fichue page blanche, s’est elle assombrie … Tel un buvard a t’elle absorbé le cafard (ou assimilé) de l’auteur perplexe. De noir s’est elle remplie la perfide. (Tiens un climat cocotier, …, les tropiques, …, oui je vais prendre tes mains si tu as mal … moi aussi j’ai chaud … mais ça c’est la bière …). Mais oui, mais oui, …, ça a avancé un peu … (le rythme des percus est pas mal là, non …) … Moi aussi j’ai chaud (mais c’est toujours et encore à cause de la bière …) … Mais climatiquement, y’a pas vraiment de quoi en ce moment …
Enfin, va quand même falloir que je trouve de quoi faire avant d’aller rejoindre Morphée … J’vais p’t’être me faire une vendetta … histoire de passer le temps, de passer ce moment d’angoisse post sommeil … Tu sais toi z’ami, si V for Vendetta c’est bien … ()
Hélas tu ne peux pas me répondre … Suis-je bête … dans quel état gère … à moins que ce ne soit ceux d’Eric … Vagues à l’âme en terrain vague, il divague (« vague » … mais celle là je l’ai déjà faite !) … effectivement, je crois que je l’aurai vu … d’ici à ce qu’une éventuelle réponse de ta part ne me parvienne …
Bon, ben z’ami … je vais te laisser … la page blanche a fait une partie de son office. Ton écoute silencieuse a aussi été appréciée … comme quoi, je reviendrai p’t’être en deuxième semaine. D’toutes façons, les lits sont en train de brûler, c’est donc pas encore l’heure d’aller s’y coucher (mettre une scie à plat, vous verrez bien le résultat). Allez la bise z’ami. Bonne soirée.
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