Communisme = Collectivisme
Capitalisme = Individualisme
Voilà le thème de la pause café de 17 heures.
C’est parti du meurtre de trois enfants par leur père, pour, on le suppute, que la mère n’en obtienne pas la garde. (j’ai vu sur le net une photo de ce père, limite tout sourire, les menottes aux poignets … ça m’a laissé perplexe !)
Ça a dérivé sur le fait que ce comportement, est peut être du au fait que l’on ramène tout à soi. Que l’on ne veut plus partager. Aucune concession. Rien. MOI.
1 mariage sur deux se termine en divorce à Paris. Les facteurs doivent être nombreux. Mais à la pause café, on a quand même remarqué avec les cas qui nous entourent, qu’il y avait une part non négligeable du à cet individualisme. A cette intransigeance. Non, je ne ferais aucune concession. Je ne sacrifierai aucun de mes désirs, aucunes de mes envies à la vie de famille.
Bon, nous l’admettons, le tableau était volontairement chargé sur le côté obscur de la force, cependant quelque part, nous savons qu’il y a un fond de vérité.
Bref, la discussion a dévié sur le collectivisme, le communisme … premier pas vers le communisme … Enfin, dans la théorie. Le communisme premier n’a jamais été atteint. On n’a pas dépassé le stade du socialisme. (Tiens, en parlant de socialistes … sont en pleine guerre de pouvoir les petits … aucune concession … moi, moi, moi … j’suis plus fort … des vrais clone de p’tit Nico !!!). Mais là aussi, ça pose des problèmes. Le collectivisme n’est pas dans la nature humaine. Enfin là aussi, on le suppute ;-))))
Moi le premier, je ne peux pas faire des choses pour des personnes envers qui je n’ai aucune raison de le faire. Encore moins si j’ai des raisons de ne pas le faire.
Comme quoi, le communisme, où tout est fait à la gloire du collectif, c’est pas pour moi.
Bref, on, …, j’en étais là … et je me suis dit que « merde … aucun de ses systèmes ne me convient vraiment … ». L’horreur quoi … Le seul truc qui m’a rassuré, c’est que je suis capable de m’effacer pour des gens que j’apprécie, de faire des choses, des concessions si je sais qu’un retour viendra, etc … Un mélange de collectivisme dans mon individualisme de petit capitaliste (ouah … le gros mot).
Et là, on a vu que ça faisait une demi heure qu’on déconnait, et que le grand capital nous employant allait finir par nous botter le cul. Alors on est reparti travailler, parce qu’il faut bien entretenir notre pouvoir d’achat d’individualiste. J’ai honte …
Sur ce z’ami, sur ces élucubrations de salariés en pleine addiction « caféinique », je te laisse … l’air de rien … j’y pense encore … j’te donnerai pas les détails, …, mais j’y pense encore … La preuve je viens d’écrire dessus. Allez tchusss !
Capitalisme = Individualisme
Voilà le thème de la pause café de 17 heures.
C’est parti du meurtre de trois enfants par leur père, pour, on le suppute, que la mère n’en obtienne pas la garde. (j’ai vu sur le net une photo de ce père, limite tout sourire, les menottes aux poignets … ça m’a laissé perplexe !)
Ça a dérivé sur le fait que ce comportement, est peut être du au fait que l’on ramène tout à soi. Que l’on ne veut plus partager. Aucune concession. Rien. MOI.
1 mariage sur deux se termine en divorce à Paris. Les facteurs doivent être nombreux. Mais à la pause café, on a quand même remarqué avec les cas qui nous entourent, qu’il y avait une part non négligeable du à cet individualisme. A cette intransigeance. Non, je ne ferais aucune concession. Je ne sacrifierai aucun de mes désirs, aucunes de mes envies à la vie de famille.
Bon, nous l’admettons, le tableau était volontairement chargé sur le côté obscur de la force, cependant quelque part, nous savons qu’il y a un fond de vérité.
Bref, la discussion a dévié sur le collectivisme, le communisme … premier pas vers le communisme … Enfin, dans la théorie. Le communisme premier n’a jamais été atteint. On n’a pas dépassé le stade du socialisme. (Tiens, en parlant de socialistes … sont en pleine guerre de pouvoir les petits … aucune concession … moi, moi, moi … j’suis plus fort … des vrais clone de p’tit Nico !!!). Mais là aussi, ça pose des problèmes. Le collectivisme n’est pas dans la nature humaine. Enfin là aussi, on le suppute ;-))))
Moi le premier, je ne peux pas faire des choses pour des personnes envers qui je n’ai aucune raison de le faire. Encore moins si j’ai des raisons de ne pas le faire.
Comme quoi, le communisme, où tout est fait à la gloire du collectif, c’est pas pour moi.
Bref, on, …, j’en étais là … et je me suis dit que « merde … aucun de ses systèmes ne me convient vraiment … ». L’horreur quoi … Le seul truc qui m’a rassuré, c’est que je suis capable de m’effacer pour des gens que j’apprécie, de faire des choses, des concessions si je sais qu’un retour viendra, etc … Un mélange de collectivisme dans mon individualisme de petit capitaliste (ouah … le gros mot).
Et là, on a vu que ça faisait une demi heure qu’on déconnait, et que le grand capital nous employant allait finir par nous botter le cul. Alors on est reparti travailler, parce qu’il faut bien entretenir notre pouvoir d’achat d’individualiste. J’ai honte …
Sur ce z’ami, sur ces élucubrations de salariés en pleine addiction « caféinique », je te laisse … l’air de rien … j’y pense encore … j’te donnerai pas les détails, …, mais j’y pense encore … La preuve je viens d’écrire dessus. Allez tchusss !
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