Hep, patron un autre. Ben ouais vu ma chance innée, j'ai de nouveau ma ch'tite gorge (une putain d'empaffée de chochotte que celle là ...) irritée. Car madame ne supporte pas le temps lourd et humide. Que le froid et sec, ou chaud et sec. Pas d'humidité pour madame. Alors, voilà ... je vais de nouveau me shooter au thé (plus un suppôt comme d'hab, et zou au lit ...). Donc, je préviens ... et ce malgré la soi disante sécheresse (ma gorge elle, bien que sèche, a su trouver l'humidité ....) ... au mois d'août, il y a interêt que le temps soit sec ... Sinon ... Euh ... ouais, ..., bon je vais chercher ... (merde, dur de lutter contre mère nature ....) ...
Sur ce, en levant mon petit doigt (élégance suprême de tout buveur se respectant ... notamment outre manche ... m'enfin moi, j'fais à la marocaine ... donc sans p'tit doigt et en faisant un max de bruit ...), mais pour de faux, je vous laisse.
A plus.
PS : Tiens, c'est le dernier post (nah, nah, ..., billet, ..., nah, nah, nah, ..., note, ..., and so on !) pour Juillet.
Il fut un temps où le Pouillet, tout emprunt de l’innocence issue de notre adolescence avait foi en la thèse du Prince et de la princesse charmante … Cependant la salope (la foi … pas la princesse … ayant été peu proche de cette princesse je ne saurais être le père d'une telle révélation) s’évapora après que la pseudo princesse s’en fut avec un autre prince (d’un obscur comté de Lusitanie, si ma mémoire ne me fait pas défaut) … Las, le Pouillet se trouva une nouvelle princesse, puis une autre (la précédente suivant le même cruel chemin que la première), puis une autre, puis etc., jusqu’au jour où le Pouillet perdit complétement la foi. (Il avait omis de prendre conseil auprès de Georges … Michael, …, suivez un peu …). S’en suivit une descente aux enfers, où l’alcool aidant, le Pouillet ausculta son âme. Et elle n’était pas belle à voir à cette période … Le chao, la désolation était son pain quotidien … En rébellion le Pouillet commença à découvrir le subtil pouvoir d’internet … Et l’utilité de cet outil pour aguicher la gueuse (La bière comme la gente féminine … faîte comme vous voulez …). Après de brèves et enflammées discussions, Le Pouillet parvenait à ses fins (assez souvent, reconnaissons lui ce talent). L’échange phallo-vaginal. 
Sa soif ne semblait ne plus pouvoir s’étancher. Sous de fourbes desseins, la recherche de l’âme sœur, le Pouillet faisait défiler la gente féminine sur son terrain de prédiction : Le lit (bien que je lui conseillasse parfois du changement comme par exemple, le fauteuil cuir basculant de bureau à accoudoirs ornant le devant de son bureau … mais j’avoue que mon petit Méphisto personnel devait prendre le dessus sur ma raison dans ces moments là). La légende de Pouillet le queutard était née. Des tréfonds de son âme, ses plus bas instincts se révélaient au grand jour, et les excuses les plus subtiles fleurissaient au fil de ses ruptures..
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