La mémoire, comment ça marche ?

A la relecture de ma précédente note, qui n’est autre que pure invention, je me dis que quand même, si le cas avait été bien réel … je passerais quand même pour un gros pleutre. Et là, de me demander soudainement : « Mais d’où me vient ce mot ? ». De quelle région obscure de ma mémoire a-t-il bien pu surgir. Dans quelle situation, occasion, ai-je pu l’entendre, le digérer, le stocker. Hein !
Bon, je vois bien z’amie Saïda me dire que j’ai du l’entendre dans une de mes vies antérieures (elle est très branchée vies antérieures la gamine) et que j’ai du être un sacré fils de pleutre, et que peut être aujourd’hui j’en paye l’addition. Mais ça c’est mystique Saïda (cinq sur vous les vies antérieures et Va de retro satanas (y diabolo)) … donc c’est quand même une explication sujette à caution. Et là, c’est pas moi qui me porterait caution. Alors comment ma mémoire a-t-elle fait. Une vraie question pour Michel Chevalet ; La mémoire, comment ça marche ?
Et bien la mémoire est une sorte de gros disque dur … mais en moins bien … parce que des fois on ne peut plus rien en ressortir … Dans les cas très grave, la fonction « Restore » n’existe plus … Bref … on ne sait pas grand-chose … et c’est ça que je tenais à dire … La mémoire, même le Gars Chevalet, il en sait rien. Nada … nothing … peau de zob ! Ah, et si … finalement, je ne suis pas un pleutre … Non … Parce que dans l’histoire d’hier … qui vous dit que la victime du malaise n’était pas une mutante de l’espace de la planète Klargon du système 24 … hein ! Alors … Non mais … Ils me feraient passer pour ce que je ne suis pas les bougres …

Sur ce les z’amis … faut que j’aille promener la meute de mes parents … Peuvent pas l’assumer aujourd’hui … Alors à plus.