Plus que deux jours. Deux jours avant une rupture dans la monotonie de ma vie quotidienne. Fini, de ne plus réellement me soucier de ce que je vais faire le lendemain. Certes, le chômeur que je suis a une ligne directrice à suivre. A savoir, tant qu’a faire, de retrouver une activité afin de remotiver un compte en banque un brin en déprime, et puis au passage de trouver une occupation plus sérieuse que d’écrire des notes stupides sur un blog … ;-)
Bref, si tout se passe bien, dans deux jours, j’aurais un but pour chaque lendemain (voir carrément pour chaque matin) qui se présentera à moi du lundi au vendredi … du moins pour une durée d’environ trois mois. Fini les levés tardifs, les séances de cinéma le lundi à 11 H 00 ... Yalla, a plus tout ça.
Plus que deux jours avant la fin d’une liberté qui finalement n’en était pas réellement une. A vrai dire, dans deux jours je serais même encore moins libre. J’apposerais ma prose au bas d’une feuille noircie de quelques caractères stipulant certaines clauses, avec cette formidable formule « Lu et approuvé ». Tiens, au temps où j’avais un emploi, c’est moi qui faisais sous signer cette formule aux gens. Même que pour certains qui ne savait pas lire ou écrire, c’est moi qui notais la petite phrase. Curieux comme tout change.
Plus que deux jours avant qu’une page se tourne. Et dieu (ne voir ici qu’un sens de la formule et non un appel à une quelconque divinité) sait que le roman d’une vie en contient des pages tournées. Des qu’on aime relire à souhait, et d’autres sur lesquelles on ne voudrait plus poser le moindre regard. Voire carrément les effacer. Les arracher de ce stupide livre. Mais cela est hélas impossible. La vie est le seul livre dont on ne peut supprimer, rectifier les pages.
Allez les z’amis, plus que deux jours. Plus qu’un week-end et je commencerais à écrire un nouveau chapitre. Pourvu qu’il soit écrit sur le ton de la comédie et non de la tragédie (va de retro satanas … et puis quoi encore …). Et pour cela je compte sur moi … alors je croise les doigts, je mets un trèfle à quatre feuilles dans mon porte monnaie, je mets une patte de lapin au fond de ma poche, une médaille de Fatima dans la poche arrière, un fer à cheval sur la calandre de titine … et je vais aller fendre quelques bûches de bois afin d’en toucher une bonne quantité.
Non je déconne … Par contre faut que je vous laisse les z’amis … Y’a le lapin nain de ma petite sœur qui aurait soit disant disparu. On ne le retrouverait plus. Je ne vois pas pourquoi ! Reste qu’à organiser une battue. A plus.
Bref, si tout se passe bien, dans deux jours, j’aurais un but pour chaque lendemain (voir carrément pour chaque matin) qui se présentera à moi du lundi au vendredi … du moins pour une durée d’environ trois mois. Fini les levés tardifs, les séances de cinéma le lundi à 11 H 00 ... Yalla, a plus tout ça.
Plus que deux jours avant la fin d’une liberté qui finalement n’en était pas réellement une. A vrai dire, dans deux jours je serais même encore moins libre. J’apposerais ma prose au bas d’une feuille noircie de quelques caractères stipulant certaines clauses, avec cette formidable formule « Lu et approuvé ». Tiens, au temps où j’avais un emploi, c’est moi qui faisais sous signer cette formule aux gens. Même que pour certains qui ne savait pas lire ou écrire, c’est moi qui notais la petite phrase. Curieux comme tout change.
Plus que deux jours avant qu’une page se tourne. Et dieu (ne voir ici qu’un sens de la formule et non un appel à une quelconque divinité) sait que le roman d’une vie en contient des pages tournées. Des qu’on aime relire à souhait, et d’autres sur lesquelles on ne voudrait plus poser le moindre regard. Voire carrément les effacer. Les arracher de ce stupide livre. Mais cela est hélas impossible. La vie est le seul livre dont on ne peut supprimer, rectifier les pages.
Allez les z’amis, plus que deux jours. Plus qu’un week-end et je commencerais à écrire un nouveau chapitre. Pourvu qu’il soit écrit sur le ton de la comédie et non de la tragédie (va de retro satanas … et puis quoi encore …). Et pour cela je compte sur moi … alors je croise les doigts, je mets un trèfle à quatre feuilles dans mon porte monnaie, je mets une patte de lapin au fond de ma poche, une médaille de Fatima dans la poche arrière, un fer à cheval sur la calandre de titine … et je vais aller fendre quelques bûches de bois afin d’en toucher une bonne quantité.
Non je déconne … Par contre faut que je vous laisse les z’amis … Y’a le lapin nain de ma petite sœur qui aurait soit disant disparu. On ne le retrouverait plus. Je ne vois pas pourquoi ! Reste qu’à organiser une battue. A plus.
1 commentaire:
Tippie> M'ouais ... ça va me permettre de pouvoir me remettre le pied à l'étrier ... En plus chez un faiseur de fast food ... Hum ... je me vends au grand capital .... :-)) (Ah, ah, ah ...)
On verra bien Lundi comment celà va se passer ... J'suis un putain de winner moi ...;-)
Enregistrer un commentaire