Déception

Je pensais à ça ce week-end. Oh certes, par en permanence, …, mais d’une façon latente, ce n’était jamais très loin de mon esprit. Il y a déjà quelque temps, une bloggeuse (dont je tairais le nom, …, juste comme ça, sans raison apparente me venant à l’esprit) m’avait préparé le terrain au niveau de mon cerveau embrumé. Sans le vouloir, …, juste en parlant à demi mots, …, à mots couverts d’un certain « agacement » face à l’attitude de personnes qui nous sont chères. De là, où du moins d’une chose semblable, vient mon agacement. Cette semaine (donc la semaine dernière en décodant, .., désolé …) a été le point culminant révélant qu’au fond de moi, malgré le fait que j’accordais de multiples excuses virtuelles, la déception était belle et bien présente. Je suis déçu par quelqu’un. Je ne pensais pas un jour avoir à penser cela, et encore moins finalement, concéder la véracité de cette dure réalité. Mais, les jours passants, la situation se clarifiant un peu plus, une logique implacable s’empare de vous, et la déception naît. Elle fait mal. Mais ce ne sera qu’une déception de plus. Rien d’autre. Elle heurte sur le coup, car elle est de celle sur lesquelles on n’aurait pas parié un kopeck, mais la vie à ça d’impitoyable, qu’il faut faire avec. La vie ne s’arrête pas pour que tu aies le temps de t’en remettre. Non, elle avance inexorablement, et à toi de ne pas perdre le rythme. J’avoue, que je l’ai perdu (le rythme et ma vie par l’occasion) quelques heures (c’est déjà énorme, non !), mais j’ai rapidement allongé la foulée pour les rattraper. Voilà, reste une déception, une amertume poussant à boire une bière (histoire de bien se rappeler et de pouvoir juger le degré d’amertume), et à se dire que tout cela est quand même bien dommage.



Sur ce z’amis, histoire de me marrer un bon coup, il faut que j’aille voir les séances de films pour cette après midi. Alors à +.