4 juin 2005

Le répondeur

En ce moment je sens que je suis dans une période de chance absolue ... Pour vous dire, j'ose même pas jouer au loto de peur d'écoeurer les autres joueurs à vie ... et ainsi mettre au chômage tout les employés de la française des jeux (ce qui serait un mauvais Karma pour ces truffes de Villepin & Sarkozy !!!)
Donc je disais que cette période de grace me voit réussir dans tout ce que j'entreprends, me voit transformer du métal le plus précieux tout ce que je touche ... UN VRAI BONHEUR ...
Cependant une chose me résiste ... Disons plutôt une machine ... Un répondeur en fait ... Impossible de passer outre ... Quelque soit l'heure de mon appel, (en dehors des heures de nuit bien sur, auxquelles je n'appelle pas ...) invariablement j'ai le droit de parler à c'te foutue machine à la gomme ... Je consens que la charmante voix qui me répond est agréable (comment ne le serait t'elle pas d'ailleurs, quand on connaît dame Nathalie ...), cependant je tiens à déclarer qu'elle n'a aucune conversation. Pis, il y a même une bougresse qui parfois prend la parole pour me dire de taper "*" si jamais je voulais ré-écouter mon message, voire "#" s'il me venait à l'idée de vouloir changer mon message ... et franchement excusez moi, mais cette dernière m'énerve au plus haut point. Ben, vas y, dis carrément que j'appelle pour rien, que sans aucune raison j'ai fait le numéro de dame Nathalie ... Comme ça, pour m'amuser ... et que ne sachant pas quoi dire, il faut que je ré-essaye plusieurs fois afin de trouver sournoisement un motif susceptible de justifier mon appel. Mais appele moi bouffon pendant que tu y es saloperie de machine vocale ...
M'enfin, ça fait presque deux semaines que je compose le numéro en vain ... Alors, Ô toi seigneur des télécommunications, dans ta bienveillance et bonté légendaire je t'en conjure, laisse au moins une fois la communication s'établir avec dame Nathalie ...
Bon en plus si tu pouvais aussi toucher deux mots au dieu de l'emploi et à la déesse de la justice, je dois le reconnaître celà m'arrangerais un brin aussi ...
Voilà pour ce que j'avais à dire au sujet de ma chance actuelle ... De toutes façons, je pense qu'étant descendu à la cave, je ne puisse pas descendre plus bas ... Faut juste que je trouve cette satané boîte d'allumette afin de pouvoir éclairer cette foutue cave et de mettre la main sur cette pourriture de clef, et je pense que je devrais alors trouver la sortie ...
... Bon alors elle est où cette fichue boîte d'allumettes ... P'tain, on y voit rien ... ah ... merde, une boîte vide ... continuons ...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

NE TE DESESPERE PAS LA ROUE TOURNE TU RETROUVERAS LA LUMIERE DIS TOI QU ON NE PEUT PAS TOUT AVOIR EN MEME CA SERAIT SI BEAU

LA VIE C EST COMME UNE ROSE ELLE A DES EPINES

BISOUS PAULE