En ce moment, mon humeur fait des soubresauts … on ne peut plus chaotiques … J’arrive à être quasiment en même temps proche du bonheur que d’un sombre désespoir …
Il m’arrive de frôler l’instant parfait pour en fait me retrouver dans un gouffre sans issue. Du moins c’est ce qu’il m’apparaît. Comme si la vie s’amusait à jouer avec mes émotions, avec ma capacité à absorber le bon et le nettement moins bon. J’ai l’impression de rien contrôler du tout … mais alors rien du tout.
Par exemple, au niveau de ma recherche d’emploi (Ah ben parlons en … ça faisait longtemps), je ne sais réellement plus quoi faire … J’ai tout essayer … Les boulots merdiques, mal payés, …, ben ils veulent pas de moi … Vous comprenez Monsieur, dans un an, deux ans vous allez nous quitter … nous ne pouvons pas vous prendre … (Et les boulots merdiques mais bien payés, ils ont la même réponse) … Les boulots pas merdiques, mais mal payés, …, s’intéressent alors à mon « Background » (‘tain savent pas qu’on est en France … et qu’il y a quelques mots dans le dictionnaire … quand même) … Background … qui en fait les effraient dar dar (motus … souris aérodynamique … là, faut être connaisseurs) … que parfois … plouffe … plus de nouvelles … Injoignables les gaziers !!! Du jour au lendemain, j’ai comme l’impression qu’ils ont disparu de la surface de la planète. Reste donc les boulots pas merdiques, et bien payés … mais là … on touche à l’imaginaire, au monde virtuel … au paradis, …, à l’olympe du monde professionnel.
Mais vous me direz (comme je me le dis moi-même), …, il n’y a pas que le boulot dans la vie (c’est pas faux ça !) … Ben, là aussi, c’est pas merveilleux en ce moment … Comme un abruti de Bernard (Eh … non, c’est pas mon prénom ça … qu’est ce que c’est que cette connerie) l’ermite (Ah … j’me suis fait peur) je suis un habitué de la coquille … Et maintenant, v’la t’y pas que j’arrive pas à en ressortir … Mais merde, qu’est ce qui se passe … On dirait qu’un 38 tonnes s’est garé juste devant ma porte et que j’arrive plus à l’ouvrir. Constatant cette situation, j’ai appelé une serrurière afin qu’elle vienne m’aider à sortir … Mais voilà, quand elle est venue, d’une elle a pas pu sonner à la porte (à cause du camion qu’est vraiment collé à ras de ma porte … faut suivre … zut alors) et de deux elle m’a rappelé une fois rentrée chez elle en me disant que de toutes façons, elle n'était pas « chauffeuse » poids lourd …
Nom d’une pipe (permission de mauvaise pensée accordée) me dis-je … comment vais-je faire … Je me décide à appeler la maréchaussée afin d’obtenir une aide quant au dégagement du dit poids lourd … mais on ne leur fait pas à eux … non, non, …, en ce moment ils ont le CPE sur le dos … alors avec les entraînements de maniement à la matraque, etc., ils n’ont pas que ça à foutre … Ils passeront rapidement ce soir avec l’estafette de la brigade, mais ne pourront rien faire d’autre que de dresser un procès verbal (quoi … même pas écrit … si écrit … mais on dit verbal … c’est comme ça … cherche pas à comprendre) pour stationnement gênant … Voilà, ça fait quelques temps que le poids lourd est là … aux dernières nouvelles il serait en panne (tout comme moi), le chauffeur en prison pour dépendance alcoolique aggravée, et la pièce en commande chez le concessionnaire, mais ce dernier est en liquidation judiciaire … donc pas vraiment fiable … J’ai crû entendre dire que le samu social passerait peut être me filer une soupe, …, mais rien n’est moins sûr, y’a plus prioritaire que moi.
Alors, comprenez que je puisse avoir quelques soubresauts au niveau du moral …
Bon il me reste du thé, de la menthe … Devinez les z’amis … Ben ce soir, Thé à la menthe … (m’ont pas encore coupé l’eau …) … Allez, à plus.
Il m’arrive de frôler l’instant parfait pour en fait me retrouver dans un gouffre sans issue. Du moins c’est ce qu’il m’apparaît. Comme si la vie s’amusait à jouer avec mes émotions, avec ma capacité à absorber le bon et le nettement moins bon. J’ai l’impression de rien contrôler du tout … mais alors rien du tout.
Par exemple, au niveau de ma recherche d’emploi (Ah ben parlons en … ça faisait longtemps), je ne sais réellement plus quoi faire … J’ai tout essayer … Les boulots merdiques, mal payés, …, ben ils veulent pas de moi … Vous comprenez Monsieur, dans un an, deux ans vous allez nous quitter … nous ne pouvons pas vous prendre … (Et les boulots merdiques mais bien payés, ils ont la même réponse) … Les boulots pas merdiques, mais mal payés, …, s’intéressent alors à mon « Background » (‘tain savent pas qu’on est en France … et qu’il y a quelques mots dans le dictionnaire … quand même) … Background … qui en fait les effraient dar dar (motus … souris aérodynamique … là, faut être connaisseurs) … que parfois … plouffe … plus de nouvelles … Injoignables les gaziers !!! Du jour au lendemain, j’ai comme l’impression qu’ils ont disparu de la surface de la planète. Reste donc les boulots pas merdiques, et bien payés … mais là … on touche à l’imaginaire, au monde virtuel … au paradis, …, à l’olympe du monde professionnel.
Mais vous me direz (comme je me le dis moi-même), …, il n’y a pas que le boulot dans la vie (c’est pas faux ça !) … Ben, là aussi, c’est pas merveilleux en ce moment … Comme un abruti de Bernard (Eh … non, c’est pas mon prénom ça … qu’est ce que c’est que cette connerie) l’ermite (Ah … j’me suis fait peur) je suis un habitué de la coquille … Et maintenant, v’la t’y pas que j’arrive pas à en ressortir … Mais merde, qu’est ce qui se passe … On dirait qu’un 38 tonnes s’est garé juste devant ma porte et que j’arrive plus à l’ouvrir. Constatant cette situation, j’ai appelé une serrurière afin qu’elle vienne m’aider à sortir … Mais voilà, quand elle est venue, d’une elle a pas pu sonner à la porte (à cause du camion qu’est vraiment collé à ras de ma porte … faut suivre … zut alors) et de deux elle m’a rappelé une fois rentrée chez elle en me disant que de toutes façons, elle n'était pas « chauffeuse » poids lourd …
Nom d’une pipe (permission de mauvaise pensée accordée) me dis-je … comment vais-je faire … Je me décide à appeler la maréchaussée afin d’obtenir une aide quant au dégagement du dit poids lourd … mais on ne leur fait pas à eux … non, non, …, en ce moment ils ont le CPE sur le dos … alors avec les entraînements de maniement à la matraque, etc., ils n’ont pas que ça à foutre … Ils passeront rapidement ce soir avec l’estafette de la brigade, mais ne pourront rien faire d’autre que de dresser un procès verbal (quoi … même pas écrit … si écrit … mais on dit verbal … c’est comme ça … cherche pas à comprendre) pour stationnement gênant … Voilà, ça fait quelques temps que le poids lourd est là … aux dernières nouvelles il serait en panne (tout comme moi), le chauffeur en prison pour dépendance alcoolique aggravée, et la pièce en commande chez le concessionnaire, mais ce dernier est en liquidation judiciaire … donc pas vraiment fiable … J’ai crû entendre dire que le samu social passerait peut être me filer une soupe, …, mais rien n’est moins sûr, y’a plus prioritaire que moi.
Alors, comprenez que je puisse avoir quelques soubresauts au niveau du moral …
Bon il me reste du thé, de la menthe … Devinez les z’amis … Ben ce soir, Thé à la menthe … (m’ont pas encore coupé l’eau …) … Allez, à plus.
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